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dimanche 29 décembre 2013

HISTOIRE DE FINIR L'ANNEE 2013



Question : Combien de types d’oiseaux êtes-vous capables de nommer ?

J’ai joué au jeu du BAC avec mes neveux et nièces. Nous avons fait des colonnes, y avons inscrit les titres des colonnes pour les noms à chercher et avons commencé. Quelqu’un (moi) a proposé une colonne « oiseaux » et, j’ai trouvé le cas intéressant.

Savez-vous que, en général, nous connaissons environ une vingtaine d’espèces seulement ? Aigle, autruche, bécasse, canard, cigogne, corbeau, faisan, faucon, goéland, héron, hibou, hirondelle, ibis, moineau, mouette, pélican, pingouin, vautour et kiwi. Et c’est toujours les mêmes qui reviennent. (Dans le jeu, évidemment.  Dans la vie, ne reviennent que les migrateurs. Ils reviennent des pays chauds, le printemps. Le kiwi reste à sa maison et l’émeu m’épate par sa statique.)

Quand je pense qu’un ornithologue et paléontologue, Pierre Brodkoch 1902-1992, avait fait une estimation des « espèces » d’oiseaux – celles encore vivant de nos jours et celles éteintes – et avait annoncé plus de 1.834.000 espèces, je me demande : « Mais, où vont mourir les espèces d'oiseaux ? Dans nos mémoires ? »
 
Pour bien terminer 2013.
Bon. Je ne connais pas le nom de tous les oiseaux mais, rien qu’en sachant qu’il y a des espèces éteintes, je m’inquiète pour l’avenir de l’Humanité. Alors, pour 2014, je souhaite que les Humains aient plus de mémoire. Attention, nous ne sommes que de passage sur cette planète !
Et, en attendant l’extinction de la race humaine, puisque mon message tombera dans les oubliettes, méfiez-vous de bulles de minuit. Parce qu’après, il faudra rentrer…  

mercredi 18 décembre 2013

LE RÊVE DE L'HOMME : VOLER COMME ICARE : I CARE...



Le rêve de l’Homme a toujours été de voler ; Icare l’avait fait.

Je vous raconte sommairement l’histoire, sans chercher à voir plus loin les significations et autres ramifications de l’histoire : 

Dédale et son fils Icare sont dans un labyrinthe. Dédale invente des ailes en cire ; les deux s’envolent. Dédale vole vers le nord mais, Icare, fasciné par le soleil, se dirige vers celui-ci. Les ailes fondent et Icare tombe dans la mer.

Aujourd’hui, les Hommes sont parvenus à voler grâce à un moteur et à des matériaux spécifiques. Le rêve s’est enfin réalisé. Nous volons sur terre, sur mer (si, si !), dans les airs et même hors de l’atmosphère. C’est formidable !

Alors, pourquoi je vous parle de cela ?
C’est parce que en inscrivant « Icare » dans « Google Traduction », j’ai fait une  petite erreur et j’ai écrit « i » « espace » « care » et le « translateur » m’a traduit : « je m’inquiète. »

Bon ! Afin de dédramatiser tout ça, disons que je m’inquiète pour le Père Noël. Vous savez, ce Bonhomme en rouge et blanc avec une barbe blanche. Il voyage en traineau. C’est dangereux ! Déjà certains avions sont douteux alors, les traineaux de 300 ans, je m’inquiète. De plus, c’est le traineau qui vole, pas le Père-Noël. A-t-il pensé à mettre un parachute pour sa livraison du 24 au 25 ?

En attendant, je vous souhaite un 

JOYEUX NOËL à tous, HO, HO, HO !


PS : Pour revenir à la légende d’Icare, savez-vous qu’un trait de mer autour de l’île de Samos, en Grèce, s’appelle : Ikario Pélagos.

vendredi 13 décembre 2013

LES MOA et lui, et toi, et moi ; oiseaux éphémères


Désolé de vous le dire mais, nous ne sommes pas éternels. Bien sûr, je parle de notre vie de tous les jours mais aussi de notre vie de terriens.

Pour ce qui est de notre vie quotidienne, dépêchez-vous de vous mettre en paix avec vous-mêmes car elle est courte. Vous n’aurez sans doute pas le temps de tout faire alors, faites déjà quelque chose de bien que vous pourrez mettre sur la balance lorsque le moment sera venu. Et ne croyez pas que vous aurez droit à 2 vierges ; le paradis n’est pas un bordel !

Pour ce qui regarde notre vie de terriens, il faut miser sur l’écologie*. Il faut se réconcilier avec la nature, se mettre en paix avec la biodiversité. Et le faire vite, sinon, nous finirons comme toutes ces autres races qui ont disparu parce qu’elles n’ont pas su s’adapter, parce qu’elles ne pouvaient plus partager l’espace vital.
Parmi ces races défuntes, il y a eu les MOAS.

Les MOAS étaient des oiseaux qui vivaient sur les 2 îles que nous appelons maintenant Nouvelle-Zélande. Ils n’avaient pas d’ennemi donc ne se sont pas méfié du devenir. Ayant la nourriture à portée de bec, ils n’avaient plus besoin de voler. Ils se croyaient les maîtres avec leurs 3 mètres de haut, les plus puissants. Ils ont disparu. Amen.
Conclusion : faites comme le paysan, respectez la terre qui vous accueille et elle vous fera manger. Ne soyez pas fainéants, ne perdez pas vos ailes. Ne cultivez pas l’agressivité. Soignez la biodiversité. 

-    -      Concernant l’écologie, je vous conseille de lire :
     « En Vert La Vie » de Vittorio Di Marco 
      disponible sur dmvictor@libertysurf.fr
C’est un recueil de poésies qui « n’oblige pas mais, montre » ; il dit les défauts mais aussi les plaisirs de la vie. C'est un recueil à offrir pour Noël, personnalisé, avec dédicace. 
A offrir pour tout évènement, d’ailleurs, car la vie n’a pas de prix et, quand on aime, il vaut mieux le dire avant. 
Si tu aimes ton prochain, tu lui veux du bien. 
Sic : "Mais le message était noté/Je te l'apporte/L'Humanité devra changer/Pour qu'on s'en sorte." 

vendredi 6 décembre 2013

MASKED MANALA et le petit hommage à un Grand Homme

Hier, sous le prétexte de laisser les enfants fêter une tradition plus alsacienne que chrétienne, j'ai posté un texte contre le racisme, contre les racistes de toutes les couleurs, contre ceux qui se prennent pour de hommes alors qu'ils ne respectent pas les humains, ni les hommes, ni les femmes, ni les enfants. 
Puis, en fin de journée, j'ai appris qu'un Grand Homme était parti : Nelson Mandela, appelé aussi Madiba. 
Alors, plutôt que de modifier le texte, je fais un ajout, un aparté, pour lui porter un hommage car, avec Jésus, Ghandi et le Dalaï Lama, c'était une personne qui s'était "battue" avec des mots de paix. 
Il a été humilié. Il a fait de la prison. Un tiers de sa vie, il a été privé de liberté et, quad il a eu le pouvoir, qu'a-t-il fait ? Il aurait pu se venger. Il aurait pu inverser la situation. Non. Il a pardonné. Il a rassemblé avec intelligence. Il a instauré la paix, sans utiliser la violence, dans "sa Nation Arc-en-Ciel." 
C'était un Vrai Grand Homme. 

Je sais, ça va peut-être choquer certains mais, pour moi, il mérite le Super-Manala et, voire, le Super-Madiba ou Super-Mandela. 
Évidemment, cette distinction ne vaut pas le Prix Nobel de la Paix, qu'il a déjà eu, mais, les alsaciens comprendront. 

Alors, pour tout le gâchis évité, pour l'exemple de vie, pour la paix apportée, pour avoir montré la voie à ces messieurs qui se disent grands, les participants de ce blog vous disent : 
"Respect, Monsieur Mandela."

jeudi 5 décembre 2013

SUPER-MANALA 3 - Le retour "noramoll"



Ce soir, 5 décembre, il y a du vent. Je suis rentré tôt des champs et, comme il fait assez froid, je ne suis pas sorti me boire un verre avec mes potes du village. J’ai regardé la télé.
J’ai pris plaisir à m’avaler une bonne soupe, faite par ma femme, avec nos légumes, bien chaude et bien épaisse et j’ai regardé « Plus Belle La Vie. » Je fais ce que je veux !
Pendant la transmission, on parlait de sorcières. Une pensée est venue me travailler l’esprit : « Pourquoi,  dans les films d’épouvante, les méchants vicieux sont des hommes et on leur fait une suite alors que dans d’autres films on brûle les soi-disant sorcières qui, elles, ne tuent personne ? » Si vous avez la réponse, merci de me la communiquer.
Bien. Là-dessus, vous vous demandez ce que pourrait bien faire Super-Manala pour rétablir l’équilibre ? Rien. Ce n’est pas son rôle. C’est le rôle du Père Fouettard.
Mais, le Père Fouettard ne se montre pas beaucoup en ce moment. Il a des problèmes ‘d’époque’. Figurez-vous que, parce qu’il est représenté avec une figure noire, il se fait accuser de faire du racisme !
Un autre, qui a peur, c’est le ramoneur. Bientôt, il devra se laver avant de sortir de la cheminée.
C’est vrai, c’est de l’humour mais, rappelez-vous bien que c’est l’humour qui sauvera le monde ; je n’ai jamais vu faire une guerre en riant. Par contre, la connerie n’a pas de frontière. Alors, demandez-vous si elle ne vous a pas déjà contaminés. Après-tout, les femmes sont toujours autant maltraitées et tout le monde laisse faire.

Mais, revenons à Super-Manala. 
Ça n’est vraiment que pour les enfants. Alors, n’oubliez pas, demain, de leur fêter la Saint Nicolas.   

dimanche 24 novembre 2013

TSEDAKA ! TU CEDES A QUI ?



Il y a, en face de chez moi, un couple qui « met du pain sur son balcon ». A première vue, c’est bien. Ce sont des gens « qui sont loin de chez eux » et leur famille. Ils ne parlent pas bien ou pas le français, ne peuvent donc pas avoir une conversation avec d’autres personnes ; ils parlent alors avec les pigeons.
Mais, voici l’hiver et, des oiseaux, il y en a de moins en moins car ils sont pourvus d’ailes et, comme la plupart des volatiles, ils fréquentent le ciel. Or, le ciel n’a pas de frontières et permet de se déplacer plus facilement que la terre et, les oiseaux migrent vers les pays plus chauds.
Là-dessus, comme j’aimerais, moi aussi, aller dans les pays chauds, il me vient une citation dont je ne connais pas l’auteur mais, qui me plait. Je vous la remets :

  • -        Il me semble que la misère serait moins pénible au soleil… à condition d’avoir les moyens d’y aller !

pigeon dans le froid
Apparemment, il reste quelques pigeons qui n’ont pas les moyens de migrer vers les pays plus chauds. Ou alors, ils se sont habitués aux miettes de pain sur le balcon et ils resteront, ici, piégés par le froid qui vient, inexorablement, accompagné de ses amis le vent, la neige et le gel, recouvrir nos campagnes. Ces pigeons vont, sans doute, mourir de froid car un peu de pain ne suffit pas ; il faut aussi un abri, un peu de chaleur, aussi. 

Voyez-vous, tout ceci est complexe. On donne un peu de pain au pigeon pour qu’il puisse survivre en ville et c’est exactement ce geste qui fera que le pigeon mourra d’un autre manque.
Et, là encore, il me vient une autre phrase attribuée à Lao Tseu :

  • -    Si tu donnes un poisson à un homme, il mangera un jour. Si tu lui apprends à pêcher, il mangera toute sa vie.