Nombre total de pages vues

dimanche 21 novembre 2021

J'ai horreur de perdre

 


J’ai, comme certainement tout être humain, horreur de perdre.  Perdre mon temps, mon argent, perdre aux cartes et à toutes sortes de jeux. Rien que perdre mon bus m’exaspère, pourtant, il passe toutes les 10 minutes !

Et je ne vous parle pas de quand on perd un amour ou on perd quelqu’un de proche ! C’est le malheur, le vide qui se fait autour de vous ! Une perte !

Et puis, il y a ceux qui perdent la tête, perdent du terrain, qui n’ont rien à perdre et perdent la vie, ceux qui perdent la partie parce qu’ils perdent patience, du coup, ils en pendent leur latin… contre d’autres qui ne perdent pas lenord !

Enfin, et je terminerai par-là : il y a ceux qui ne perdent rien pour attendre… je les attends au tournant… à mes moments perdus. Mais ça, c’est une autre histoire.  

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; pf-vd tandem littéraire ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim

, like et partage, merci.

dimanche 14 novembre 2021

Enseignant ou renseignant, chut !

 

Photo : Patrick Frickert du Tandem Littéraire

Cela m’est arrivé dernièrement sur Facebook, je me suis fait rabrouer, tancer, réprimander ! (Au choix.) Pour un renseignement que j’ai donné… sans qu’on me l’ait demandé !

Un boulanger Alsacien avait écrit « manala » (petit homme) avec un seul « n ». Il me semblait qu’en Alsace on devrait plutôt l’écrire avec 2 « n » puisque on écrit mann (homme) et non « man » comme aux States alors, sans malice ni d’à priori et pour faire un peu d’humour, je l’ai signalé. Le boulanger, lui, ne l’a pas pris comme une offense et nous avons pu continuer l’échange mais une dame (une cliente ?!) l’a mal pris et me l’a fait savoir avec véhémence. Elle a dit, en substance, ceci : « Pour qui te prends-tu pour juger ? » Personnellement, à ce moment-là, je ne jugeais personne, j’exprimais un avis. Il m'a semblé entendre la reine dans 'Alice au Pays des Merveilles' : "Qu'on lui coupe la tête !"

Par contre, j’ai eu l’impression que c’est moi qui ai été jugé… et mal jugé ! Je crois qu’on n’a plus le droit de donner son avis ! Et encore moins de dire la vérité. Les gens veulent rester enfermés dans leur bulle de primo-acquis et ne veulent plus savoir, apprendre connaitre… s’enrichir, tout simplement.

Cependant, cette histoire m’en a rappelé une autre que je vais m’empresser de vous narrer. (Note pour les amis avec qui je partage ce blog : je sais, cette fois-ci je serai un peu long ; nous avions prévu 250 mots par article et  j’ai déjà dépassé les 200 !)

Or donc, un jour, je visitai un village qui était traversé par une rivière. Pour aller de l’autre côté, la mairie avait mis, pour les piétons seulement, une passerelle avec une seule rambarde. La rivière n’était pas bien longue ni très profonde ; cela avait dû sembler suffisant. Il y avait aussi un panneau (interdisant tous les véhicules, même les voitures !!) et en dessous une pancarte. A côté un monsieur fumait une cigarette. (C'est vous dire que ça date !)

Devant moi, un homme jeune me précédait d’une vingtaine de mètres. Il s’arrêta près de l’homme qui faisait le planton, gesticula, puis emprunta la passerelle et, arrivé vers le milieu, glissa et tomba à l’eau ! Rien de bien grave, il put sortir par la berge… l'autre, mouillé, et s’en alla (étonnant !) sans rien dire, sans râler. Tu voix le tableau !

Arrivé devant la passerelle, je m’aperçus qu’elle était glissante. Je m’en inquiétais auprès du planton, prêt à le réprimander pour sa négligence, son manque de civisme : « Mais, pourquoi vous ne lui avez pas dit que la passerelle était glissante ? » Il me répondit : « Non seulement je lui ai dit mais je lui ai demandé de lire la note collée sur le panneau avant de traverser. Il l’a lue et a traversé les mains dans les poches pour bien me montrer qu’il n’avait pas besoin de mes conseils. »

Je parcourrai la note… ‘éditée par la Mairie’ et datée du douze courant. Elle disait, sommairement, ‘tenez-vous à la rambarde pour traverser, par temps humide la passerelle est glissante’ bla-bla, 'la Mairie se se décharge de tout incident, etc.'.

Je m’adressai à nouveau au planton : « Quand même, il fallait insister ; il aurait pu se casser le cou en tombant ! » Et le monsieur me répondit : « Je l’ai fait mais il m’a répondu : « Je fais ce que je veux, mon con joli, et je t’emmerde ! » alors je l’ai laissé faire. On ne peut pas aider celui qui ne le veut pas. Et vous, qu’allez-vous faire ? Vous vous tenez à la rambarde ou pas ? »

Non seulement, ce jour-là, je me suis tenu à la rambarde mais j’ai remercié le monsieur pour son conseil : « On ne peut pas aider quelqu’un qui ne le veut pas. »

Toutefois, je pense qu’il faut dire les choses, il faut faire passer le message, il n’est pas bon de thésauriser les informations, il faut parler, il est nécessaire de dialoguer.

Et, pour en revenir à cette dame qui a pensé que je jugeai, j’aimerais lui dire : « Si vous saviez le nombre de « fôtteu d’haurtogafes » que je fais passer sans rien dire, vous me jugeriez encore plus mal. Mais, c'est parce qu'on a le droit de se tromper. Par contre, si on « perd ses verres » (en 1 mot) on va confondre par habitude. »

Autre chose, j’ai rejoint une communauté d’amis dont voici les blogs : Atelier d’écritures,  avidoxe ; cap. Margenspat ; pf-vd tandem littéraire ; dinadedan ; EcrirePastel ; Elsass-by-Nath ; Eric Valloni ; Ant Askman, Dina de Dan V.DiMarco, Polars en Sud-Alsace et VittorioDenim

, like et partage, merci.

samedi 6 novembre 2021

Plutôt des parts que départ

 

Évènements importants = tranches de vie ou des parts de vie ?

Nous sommes en novembre et c’est le mois où on pleure, on regrette, on honore, etc. ceux qui sont partis. Pour la Toussaint, dans le monde, et aussi le 11 en France.

Or, comme dit mon ami Antonio : "Des départs il y en a de toutes sortes et on peut partir en train, à cheval, en voiture… ou les pieds devant !" Et il ajoute : "La plus dangereuse."

"Partir, a dit Alphonse Allais, c’est mourir un peu, mais mourir, c’est partir beaucoup." C’est vrai, partir est toujours triste, déchirant parfois. Mais se retrouver c’est un grand plaisir… quand on s’aime, évidemment.

Mais, comme cité plus haut et sans avoir à mener une enquête, des départs, il y en a aussi d’autres sortes : le départ dans la vie, dans une profession, un métier, le départ d’un grand amour, d’une amitié, le départ pour les vacances, etc. Quand départ est synonyme de « début » c’est bien plus agréable !

Et puis, parfois, il faut un départ genre « remise à zéro » pour bénéficier d’un vrai départ en « grandes pompes » ! (Qui n’a rien à voir avec pompes funèbres.)

Alors, je demande à tous les gens négatifs : qu’êtes-vous disposés à quitter, pour toujours, en vue d’un nouveau départ ? Et êtes-vous disposés à nous quitter pour nous laisser, enfin, respirer ?

Bien ! Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, suvulunews, Atelier d’Ecriture et VittorioDenim. Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !