Manipulateurs, manipulés et victimes

 

La semaine dernière je vous parlais des pollutions dues aux objets que nous fabriquons. Je crois qu’il est possible de faire quelque chose sur ces genres de pollutions car, on les sent, on les voit. Il y a donc un espoir de vivre un jour sur la planète bleue en bonne communion avec elle et ses éléments.

Malheureusement, il n’y a pas que ces pollutions-là. Il faut aussi compter avec les manipulateurs et les manipulés. Et là, ce sera un peu plus ardu de les contrer. 

Les manipulateurs, ce sont ces gens qui ont la manie d’imposer leur idée (oui, je l'ai mis au singulier... tant c'est singulier), "leur" point de vue. Les manipulés, ce sont ceux qui croient surtout les manipulateurs. Ils ont besoin d’être dirigés. La liberté des choix leur fait peur. Alors, il suffit qu’un manipulateur rencontre un manipulable pour que « le mal » s’accomplisse sur les 7 autres milliards de personnes que notre planète abrite.

Eh oui, les manipulateurs et les manipulables sont une pollution difficile à chasser car de tous temps il y a eu cette bataille entre le bien et le mal. Et le mal, régulièrement fait parler de lui à travers ses fils, les manipulés. Mais, ce sont bien les manipulateurs qu’il faudrait traiter, ces gens à la pensée unique, la leur, qui va contre tout ce qui vit sur notre Terre.

Et puis, il y a les victimes. Ce sont des personnes innocentes. Elles sont prises dans la tourmente engendrée par le mal et ses adeptes. Et aujourd’hui je pleure. Mais ce ne sont pas seulement des larmes de compassion, ce sont aussi des larmes de révolte. Pas de haine, non, je ne suis pas comme eux. Mais dans la colère, la solution qui me vient à l’esprit est « l’école du partage ».  

Ci-après et en image, voici ce que j’ai trouvé dans « En Vert la Vie » qui explique bien le mal qui nous entoure :

Ne fais non plus pas comme ceux-ci,

Une autre engeance,

Qui t’empêchent de vivre ici

Comme tu penses,

Qui te promettent un paradis

Et sans souffrances ;

Mais que si, TOI, tu souffres ici :

C’est pas de chance.

Mais, comme il y a des gens qui ne seront jamais que des marionnettes sans cervelle, on n’est pas tirés d’affaire !

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Et ce ne sont pas les seuls

 

Dans le dernier post, je vous donnais une des raisons qui font de la voiture électrique une source de pollution… à retardement. Mais, ce n’est pas la seule !

Il y a, actuellement, un engouement sur le tout électrique aussi bien par l’État que par les jeunes. Ce sont les « véhicules » de déplacement qui marchent à « l’électrique » ! Et ils sont nombreux.

Sans vous parler des jouets (bientôt Noël !) qui utilisent des piles ou des batteries, ces « autres » véhicules polluants vont de la trottinette au vélo en passant par les hoverboards, les monocycles et autres ! Tous ces moyens de déplacement utilisent des batteries. Donc, pollution activée, avant la construction, pendant la construction et l’utilisation et après, quand la batterie est ‘morte’.

Choisis ton camp, camarade ! A quelle sauce veux-tu être mangé ! Choisis ta mort, quoi.

Les jeunes préfèrent les hoverboards ou les monocycles, les plus anciens préfèrent les vélos à 2 ou à 3 roues et les encore enfants préfèrent les trottines. (Les enfants attardés préfèrent les 4x4 ; véhicules encore plus polluants, pour imbéciles et irresponsables, qui mérite un article à part)

C’est du n’importe quoi !  Tout ce joli monde s’engouffre dans la course à la pollution et chacun amène sa pierre à l’édifice tout en croyant faire le contraire.

A qui profite la prime ? Eh oui, car l’État encourage cette pollution-là. Pourquoi ?

Bien sûr, aujourd’hui, on ne voit pas la pollution. Elle est chez les pays pauvres. Mais, quand elle se verra, qu’on ne pourra pas faire de retour en arrière parce que la terre sera contaminée et que l’eau ne sera plus buvable, on ira vivre où ? 

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La voiture electrique pollue

 

Le titre déjà dit tout. Je vous explique ci-après.

Comme la voiture électrique n’a pas de pot d’échappement, vous vous dites qu’elle n’émet pas de CO2 en donc ne pollue pas. Vous avez raison… et vous avez totalement tort ! 

Il vous faut considérer tout son ensemble, de l’idée à la mise au rebut. Et là, actuellement, la pollution qu’elle produit est supérieure à une voiture thermique.

1 exemple : les batteries, il faut les fabriquer. Il faut des métaux rares. Des enfants travaillent dans des mines insalubres « pour vous ». Honte à vous ! Et insalubre signifie pollution. Première pollution. Et quand il faut remplacer les batteries, où les met-on ? Pour l’instant, elles s’accumuleront ou seront envoyées dans les pays pauvres pour polluer encore !

Et ce n’est qu’un des exemples de pollution. Il y en a d’autres. On en reparlera. Alors que la voiture thermique est recyclable presque à 100% !

J’en conclus qu’on cherche à vous faire remplacer une pollution visible, qu’on peut contrer puisqu’on la voit et on la sent (essentiellement le CO2) par plusieurs autres qu’on ne voit pas (elles sont loin de chez nous ou pas encore visibles).  

Alors, ma question : pourquoi et à qui profite la frime ?

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