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vendredi 24 avril 2020

Télé plus et encore



Comme vous avez pu le constater, ces derniers temps, à cause de ce coronaconfini, nous avons confiné nos corps. Mais, la vie continue quand même ! 

Alors, nous nous sommes adaptés : télétravail et télé-visio-conférences d’abord, téléconsultation, télé-remboursements, télé-prise en charge ensuite. Télévision, téléphone et internet n’ont jamais aussi bien marché que depuis que nous ne marchons plus. Et j’ajoute : télé-attestation de déplacement, etc. 

Le mot « télé », du grec ancien : loin, au loin, s’est imposé comme la solution la plus intéressante pour continuer à vivre tout en restant « au loin » de tout et de tous. 

Tu veux mon avis ? Non ? Comment ça non ? Ah, tu le connais déjà ! Ben oui, les habitudes s’imposent d’elles-mêmes et nous font et défont. Et il sera difficile de s’en débarrasser. Comme les manies ou les tics, oui ! (Et quand il y en a beaucoup, on dit polytics ! Poly vient du grec ancien et signifie ‘nombreux’)

C’est pourquoi, je te mets en image quelques vers tirés de « Avenirobotique », un des textes du recueil « En vert la vie » de V.DiMarco édité en 2014 et qu’il ferait bien de republier tant les mises en garde sont vraies et semblent se réaliser. Un peu comme les centuries de Nostradamus, ouais ! 

Alors, on se télé-parle ? On se télé-rencontre ? On se télé-brouille ? ‘C’est vous qui voyez ! Y-en a qui ont essayé mais ils ont eu des problèmes’… comme ont dit « Chevallier et Laspalès » dans leur sketch « Le train pour Pau »

Le temps et les manies nous entrainent vers des élucubrations plutôt douteuses qui vont modeler notre avenir à tous. 

Bonne journée people. See you soon ! On the télé… robot, one more time ! Again ou pas !   

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !


vendredi 17 avril 2020

Ecrit sur la tranche


Tout allait en vieillissant dans notre monde décadent. Le rythme allait même en s’accélérant par l’industrialisation d’abord, dès le 19ème siècle et ensuite par l’exemple donné aux pays émergents ainsi que par nos habitudes, mauvaises, qui devenaient banales, communes. 

La machine imposée par une poignée de vrais riches pourris, validée par certains politiciens corrompus et acceptée par des imbéciles de pauvres allait bon train, à toute vapeur vers la suffocation et la paupérisation de notre planète. 

Les oiseaux se faisaient rares. Les abeilles mourraient. Les rats refaisaient leur apparition. Etc. 

Et puis, coronavirus est arrivé ! Hé ! Qu’est-ce que c’est ? 

Personne ne savait ce que c’était mais, à en juger les ravages qu’il faisait, il était dangereux. Ce n’était pas la peste, non, mais un cousin sans aucun doute ! 

Puis, on lui a donné un nom : covid-19 ! 

Pour l’amadouer ? C’est possible. Je sais que, rien qu’en donnant un nom à une maladie, on a déjà fait un grand pas vers la guérison. Mais, sur ce virus, même les grands spécialistes ne connaissaient pas son comportement ! Une solution fut pourtant trouvée : le confinement ; c’est-à-dire ‘éviter de se mettre en contact physique avec un porteur de ce virus'. En mots plus simples : restons à la maison !
Donc, ralenti le trafic routier et aérien. Ralenties les cultures et les épandages de produits chimiques. Quasiment stoppées les usines. Contrôlées les rares sorties. Etc. Les recommandations étaient assez claires et faciles à respecter. 

Et ça a marché ! Oui, ça a marché. Au bout d’une certaine période, la courbe des contaminés a baissé. La partie n’était pas encore gagnée mais, le virus était en net recul. 

Et puis, on s’est aperçu que c’était le printemps ! Il était là qui nous souriait. Et on s’est aperçu aussi que les oiseaux étaient revenus. Il y en avait un peu plus. Il était temps. L’air était devenu respirable. Enfin ! Et les abeilles n’étaient plus gênées par la pollution et les produits chimiques ; elles butinaient pour nous, le miel était assuré. Mais, pas seulement ! Elles allaient de fleur en fleur, d’arbre en arbre pour ‘nous’ assurer de bonnes récoltes de fruits. Etc. 

En fin de compte, on s’est aperçu que moins de pollution était bénéfique pour les humains. On a pu voir le revers de la médaille du coronavirus : ce côté-là était bénéfique pour nous ! Étonnant, n’est-ce pas ? Mais, combien de morts il a fallu payer ! Et, croyez-vous que l’humain a compris ? … 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

vendredi 10 avril 2020

Chaque chose en son temps


Comme disait Louis XV (1710/1774) pourtant appelé « le Bien-Aimé » : « Après moi le déluge ! » 

Apparemment, ce ‘bon mot’ n’est pas que pour les rois mais aussi pour les gueux.  Nous sommes toujours confinés et, à peine le soleil montre le bout de son nez, voilà que les gens sortent ; ils font fi des règles de sécurité, ils se moquent de véhiculer le virus. Ils ont pourtant autour d’eux des gens qu’ils aiment !
Mais, que nenni, mon ami, faisons fi de ces souci-ci ! 

D’un autre côté, ce n’est pas mieux.
Nous ne sommes pas encore venus à bout du virus. Plusieurs plans essayent de se mettre en place. Nous ne sommes pas encore tirés d’affaire que déjà il y a des attaques contre ceux qui essaient d’organiser les défenses.
Que ce soient les parents des décédés, que ce soient les soignants entre eux ou que ce soit la faute des chaines d’info qui partagent, en boucle, tout ce qui peut faire le buzz, nous voyons que c’est chacun pour soi, chacun tire la couverture à soi, chacun veut faire sa justice personnelle, etc.
Les autres, on s’en fout ! 

Juste que nous sommes tous l’autre d’un autre. 
Jean-Paul Sartre (1905/1980), avait raison quand il a dit dans « Huis Clos » : ‘L’enfer, hélas, c’est les autres.’ 

Je dis : chaque chose en son temps. Pour l’instant, restons unis, soyons solidaire, faisons face afin de contrer le virus et, pour la plupart, restons à la maison.
Chaque chose en son temps. Pleurer les morts, c’est après. Les querelles, c’est après. D’ans l’immédiat, il faut sauver ceux qui peuvent encore être sauvés.  

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

vendredi 3 avril 2020

Relativité du Quotidien


Comme je suis interdit volontaire de sorti, je regarde la télé. C’est normal, ce n’est qu’un petit effort à faire pour le pays ou, ne fut-ce que pour les personnes qu’on aime : éviter de les contaminer. 

Tout le monde n’a pas saisi le message. C’est normal aussi puisqu’ils réfléchissent avec leur propre cerv. Non, je n’ai pas fait de faute d’orthographe, il manque bien un petit bout à leur cerveau. Et, essayez de vivre sans eau !  
Mauvaise nouvelle : le monde autour de nous part en déconfiture. Et les gens à la télé disent une couillonnade derrière l’autre. De plus, à force de nous montrer des images en boucle pour faire la course à qui donne le chiffre des morts le plus souvent, les chaines d’info, de matraquage d’infos, nous conditionnent à la peur et à la fatalité ! 
Bonne nouvelle : le corps humain est une « machine » merveilleuse qui s’adapte et se répare toute seule. Faisons quand même attention car si RQ= H<T il se fatigue aussi. 
Légende : RQ = relativité du quotidien ; H = humain ; T = le temps à notre disposition, le temps d’une journée, soit 24 heures dont, selon les individus, une partie est destinée à la récupération (sommeil et alimentation), une partie aux besoins personnels (trajet domicile-travail, échanger avec les autres, etc.)  et, la troisième partie seulement peut être utilisée à aider les autres. 
En d’autre termes, l’Humain ne peut être actif plus que le Temps à sa disposition moins le temps utile pour la récupération ; soit le temps dont il a besoin pour recharger les batteries ! 
En conclusion : bravo à toutes ces personnes (notamment au personnel soignant) qui s’activent pour sauver des vies contre un ennemi (on peut dire) invisible. 
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !