Comme disait Louis XV (1710/1774) pourtant
appelé « le Bien-Aimé » : « Après moi le
déluge ! »
Apparemment, ce ‘bon mot’ n’est pas que pour les
rois mais aussi pour les gueux. Nous
sommes toujours confinés et, à peine le soleil montre le bout de son nez, voilà
que les gens sortent ; ils font fi des règles de sécurité, ils se moquent
de véhiculer le virus. Ils ont pourtant autour d’eux des gens qu’ils
aiment !
Mais, que nenni, mon ami, faisons fi de ces
souci-ci !
D’un autre côté, ce n’est pas mieux.
Nous ne sommes pas encore venus à bout du virus.
Plusieurs plans essayent de se mettre en place. Nous ne sommes pas encore tirés
d’affaire que déjà il y a des attaques contre ceux qui essaient d’organiser
les défenses.
Que ce soient les parents des décédés, que ce
soient les soignants entre eux ou que ce soit la faute des chaines d’info qui
partagent, en boucle, tout ce qui peut faire le buzz, nous voyons que c’est
chacun pour soi, chacun tire la couverture à soi, chacun veut faire sa justice
personnelle, etc.
Les autres, on s’en fout !
Juste que nous sommes tous l’autre d’un autre.
Jean-Paul Sartre (1905/1980), avait raison quand
il a dit dans « Huis Clos » : ‘L’enfer, hélas, c’est les
autres.’
Je dis : chaque chose en son temps. Pour
l’instant, restons unis, soyons solidaire, faisons face afin de contrer le
virus et, pour la plupart, restons à la maison.
Chaque chose en son temps. Pleurer les morts,
c’est après. Les querelles, c’est après. D’ans l’immédiat, il faut sauver ceux
qui peuvent encore être sauvés.
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs :
avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS
68 ».
Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !
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