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vendredi 17 avril 2020

Ecrit sur la tranche


Tout allait en vieillissant dans notre monde décadent. Le rythme allait même en s’accélérant par l’industrialisation d’abord, dès le 19ème siècle et ensuite par l’exemple donné aux pays émergents ainsi que par nos habitudes, mauvaises, qui devenaient banales, communes. 

La machine imposée par une poignée de vrais riches pourris, validée par certains politiciens corrompus et acceptée par des imbéciles de pauvres allait bon train, à toute vapeur vers la suffocation et la paupérisation de notre planète. 

Les oiseaux se faisaient rares. Les abeilles mourraient. Les rats refaisaient leur apparition. Etc. 

Et puis, coronavirus est arrivé ! Hé ! Qu’est-ce que c’est ? 

Personne ne savait ce que c’était mais, à en juger les ravages qu’il faisait, il était dangereux. Ce n’était pas la peste, non, mais un cousin sans aucun doute ! 

Puis, on lui a donné un nom : covid-19 ! 

Pour l’amadouer ? C’est possible. Je sais que, rien qu’en donnant un nom à une maladie, on a déjà fait un grand pas vers la guérison. Mais, sur ce virus, même les grands spécialistes ne connaissaient pas son comportement ! Une solution fut pourtant trouvée : le confinement ; c’est-à-dire ‘éviter de se mettre en contact physique avec un porteur de ce virus'. En mots plus simples : restons à la maison !
Donc, ralenti le trafic routier et aérien. Ralenties les cultures et les épandages de produits chimiques. Quasiment stoppées les usines. Contrôlées les rares sorties. Etc. Les recommandations étaient assez claires et faciles à respecter. 

Et ça a marché ! Oui, ça a marché. Au bout d’une certaine période, la courbe des contaminés a baissé. La partie n’était pas encore gagnée mais, le virus était en net recul. 

Et puis, on s’est aperçu que c’était le printemps ! Il était là qui nous souriait. Et on s’est aperçu aussi que les oiseaux étaient revenus. Il y en avait un peu plus. Il était temps. L’air était devenu respirable. Enfin ! Et les abeilles n’étaient plus gênées par la pollution et les produits chimiques ; elles butinaient pour nous, le miel était assuré. Mais, pas seulement ! Elles allaient de fleur en fleur, d’arbre en arbre pour ‘nous’ assurer de bonnes récoltes de fruits. Etc. 

En fin de compte, on s’est aperçu que moins de pollution était bénéfique pour les humains. On a pu voir le revers de la médaille du coronavirus : ce côté-là était bénéfique pour nous ! Étonnant, n’est-ce pas ? Mais, combien de morts il a fallu payer ! Et, croyez-vous que l’humain a compris ? … 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

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