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vendredi 22 février 2019

Et toujours avoir ENVIE


Voilà un mot qui donne envie. Mais si, à tel point que même Johnny Hallyday l’a chanté en 1986 : « Qu’on me donne l’envie… etc. », rappelez-vous, ce n’est pas si vieux. 

Eh bien, l’envie, c’est cette sensation qui te donne envie d’avoir, d’être, d’avancer, etc. C’est bien simple, si tu n’as plus envie de rien, tu sombres peu à peu dans la dépression et tu dépéris ! 

Je vous mets les paroles que j’ai trouvées dans le recueil de poésies « En Vert la Vie » de V.DiMarco, éditeur MonuMar, en 2013. Dans ce cas, L’envie sauve ! Et c’est vrai. 

ENVIE 
 
Envie,
Tu m’as donné la main
Quand un matin
Je suis tombé.
Envie,
Tu étais près de moi
Et chaque fois
Tu m’as aidé.

C’est toi
Qui m’as dit bonjour
Quand mon amour
S’était brisé.
C’est toi
Qui m’as remis à flot
Quand mon bateau
A chaviré.

Envie,
Quand j’étais malade,
Ou mal à deux,
Tu m’as soigné.
Envie,
Je voulais en finir,
Tu m’as fait rire,
C’est oublié.

C’est toi,
Quand je n’étais plus rien,
Qui m’as dit viens,
On va gagner.
C’est toi
Qui, me faisant ailé,
M’as fortifié
Et m’as gardé…

… EN VIE.

Voilà, je vous souhaite l’envie mais, attention, pas la mauvaise envie, pas ce sentiment qui vous empoisonne l’existence chaque fois que vous regardez ce que les autres ont et que vous pensez « pourquoi lui  (elle) et pas moi ! » non, mais je vous souhaite la bonne envie, celle qui permet d’avancer sainement, celle qui vous fera dire : « Si c’est possible, je peux le faire ! ».   

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina, dinadedan,   Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

vendredi 15 février 2019

"D" comme Douleur


Déprime à quoi tu rimes ? Chantait Sylvie Vartan en 1983. C’était une chanson de Annie Lennox & Dave Stewart pour laquelle Michel Mallory avait fait une adaptation en français.

Eh oui, la déprime, le stress, la fatigue, le cafard, etc. étaient déjà d’actualité il y a 40 ans ! 
Mais, on ne l’avait pas encore appelée « dépression ». Le mot « dépressif » est venu dans les années 90 avec d’autres mots comme « délocalisations » ou « robotisation » ! 
Et pendant que les très beaucoup riches se réjouissent, les humains apprennent que l’oisiveté est mère de tous les vices.(V.DiMarco)

Et, là-dessus, on peut rajouter le mal d’amour. Cette douleur, ce sentiment qui nous pousse à faire des choses non réfléchies. 

Douleur

Probablement,
Le vent sur ton visage
Devait assécher les larmes
Qui s’écrasaient
Sur les arbres pressés
Entre la route et paysage.
Entre route et paysage.

Probablement,
Déjà, sur ton passage,
Ta voiture était une arme
Qui, figurant,
Sur l’asphalte brûlant,
Te visait à définir ton âge.
Devait te fixer ton âge.

Probablement,
Le cœur rempli de rage,
Les yeux bandés de vacarme,
C’est le destin
Qui t’a forcé la main
Sur le chemin qui mène au virage.
Le chemin menant au virage.

Probablement,
Tu fais partie des sages,
Posant, recouvert de marbre.
Il est trop tard
Pour freiner ton cafard,
Pour pouvoir te sortir de ta cage.
Pour te sortir de ta cage.

Eh oui, la Douleur prend plusieurs formes ; elle a plusieurs visages. Mais, si une heure sans l'être aimé semble une éternité, une minute de souffrance est toujours trop. 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina, dinadedan,   Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

vendredi 8 février 2019

Vision refoulée


Dans notre société bien structurée ( ?) il y a le riche et le pauvre, l’initié et l’écarté, etc. et monsieur-madame-tout-le-monde, qu’on a habitués à être assistés, qu’on a parqués avec d’autres personnes comme eux et qui ne peuvent comprendre pourquoi ils (elles) devraient changer. 

Tu n’as pas compris ce que je dis ? Alors, lis ce qui suit. 

Ces Cités (jeu de mots ? pas sûr !)

Tu te sens gagné d’ennui,
Terrassé d’oisiveté.
Tu ne veux pas de ta vie,
De ces rails déjà posés.
Dans ta tour de vingt étages,
Donjon d’un château raté,
Soit c’est la boîte à images,
Soit c’est gratter le pavé.

Et tu dessines sur les murs :
Tags et graffitis ;
Désespoir et « no futur » :
J’existe et je suis.

C’est plus facile d’accuser
Que de se mettre à bâtir.
Et on peut se demander :
Que fais-tu pour t’en sortir ?
Je ne vois dans ta cité
Que des choses qui empirent,
Cassées à peine réparées.
Veux-tu vraiment en sortir ?

Et tu dessines sur les murs :
Tags et graffitis ;
Désespoir et « no futur » :
J’existe et je suis.

Que faisais-tu à l’école ?
Lire, écrire et compter,
Comme tu dis, « ce n’est pas drôle ».
Mais, c’est ça qui fait manger.
Jette dans le vide-ordures
Ta haine pour la société.
C’est le clou dans « ta » chaussure,
Qui t’empêche d’avancer…

Ce texte, tiré du recueil « En Vert la Vie » de V.DiMarco explique bien l’ambiguïté des nombreuses façons de voir et, quand on est à l’intérieur, cerné par des gens pareils à soi, des gens miroirs, c’est plus difficile de se rendre compte de l’utilité de l’instruction, de la politesse, du partage, du vivre ensemble, de l’acceptation de la différence, de l’adaptation, etc. pour « s’en sortir ! » 
Mais, ce n’est pas de leur faute non plus et en tout cas, puisque chacun a son caractère, pas entièrement ni d’un côté ni de l’autre. Alors, pour s’en sortir, le mieux est compter sur soi-même. 

Quoi qu’il en soit, ce problème fait partie de l’environnement. Ne fermez pas les yeux, ne faites pas les atteints de cécité, regardez ce qui ne va pas et trouvez des solutions.

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina, dinadedan,   Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

vendredi 1 février 2019

De Baleines à Zèbres


Je continue ma croisade anti-pollution mais, pas seulement. Dans l’écologie et l’environnement, il y a aussi tous ces animaux en voie de disparition (ou qui ont déjà disparu). 

Le texte qui suit parle des baleines mais, il pourrait parler d’un tas d’autres animaux confrontés à l’être qu’on dit humain et qui ne pense pas, monsieur, ne pense pas ! Il tue ! Directement ou indirectement. 

Le texte est tiré du recueil de poésie « En Vert la Vie » ; ISBN 978-2-9530691-2-9 ; page 46 et 47.  

BALEINE

Les colères de l’océan
Ne sont pas un grand souci
Et, depuis la nuit des temps,
Je vis avec lui.

Rien ne me crée de tourments,
Ni la pluie, ni l’ouragan ;
Aucun des éléments.

Sur cette planète bleue,
Tout ce qui vit y vit en paix.
Un seul se prend pour Dieu.
De ceux de la création,
L’homme est notre seul danger ;
Le seul qui tue, et sans raison.

Est-ce notre poids géant
Qui surprend et vous fait peur ?
Une baleine, ça n’est pas méchant,
Ça vit et ça meurt.

Moby Dick revoit encore
Ceux qui harponnaient son corps,
Et sans aucun remords.


Elle a pourtant décidé,
Et ce, malgré la douleur,
De tout vous pardonner.
Car sur la planète bleue
On peut y vivre à plusieurs,
Homme, ouvre tes yeux…
             … (à défaut de ton cœur.)



L’auteur, V.DiMarco dit dans les premières pages : « J’ai fait peu : j’ai fait un livre. Je l’ai envoyé prévenir les gens ; ce n’est pas grand-chose. Mais toi, qu’as-tu fait pour toi ? Qui soit positif ? Et, si chacun fait un peu, nous réussirons là où les politiques ont échoué. » 

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