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samedi 23 février 2013

YES YOU CAN, JUST DO IT, WHY NOT, etc. : BECAUSE.

Il me revient une pensée de Marck Twain (de son vrai nom Samuel Langhorne Clemens, né le 30 novembre 1835 à Florida dans le Missouri et décédé le 21 avril 1910 à Redding), vous savez, celui qui a écrit, entre autres, Les Aventures de Tom Sawyer ou Les Aventures de Huckleberry

Donc, MT a écrit : "Ils ne savaient pas que c'était impossible, alors, ils l'ont fait."

Or, je viens de lire une des BD italiennes appelées là-bas "fumetti." 
La BD porte le titre "Le vol de l'autruche" et pour illustrer les impossibilités possibles, le scénariste se sert de plusieurs particularités des oiseaux mais pas seulement... 

Exemple, si je vous dis ; "Qui peut voler ?" vous me répondez "Les oiseaux ; pour voler, il faut des ailes." 
   - Et vous avez raison ; les oiseaux sont les seuls à pouvoir voler puisque les  ptérodactyles n'existent plus. (Mais, Les ptérodactyles font partie de la famille des "reptiles" volants, les ptérosaures.)
   - Et vous avez tort puisque les autruches ne volent pas. Et pourquoi les autruches ne volent pas ? Parce que leur poids est trop important par rapport à leurs trop petites ailes. 

D'un autre côté, le hanneton, qui est un insecte, peut voler. Pourtant il a aussi de très petites et frêles ailes par rapport à son poids et à sa taille... 

Alors, pourquoi lui, le hanneton, peut voler et pas l'autruche ? 

La réponse, quoi que arrangée, nous est donnée par Mark Twain : 
"Parce que le hanneton ne sait pas qu'il ne peut pas voler alors, il le fait. L'autruche, par contre, se sait pas qu'elle pourrait voler alors, elle ne le fait pas." 
Et n'oubliez pas que (c'est dans le Dylan Dog), l'oiseau, avant de pouvoir voler doit s'exercer longuement. Il lui faut beaucoup de travail, d'application et de persévérance avant de pouvoir prendre son envol. 

Tout ça pour dire ; ne désespérez pas, il y a toujours une solution. Avec beaucoup de travail, de persévérance, d'application et un peu de chance, tout est possible.


mardi 12 février 2013

ON DIT "UNE GROSSE" POUR DOUZE DOUZAINES D'OEUFS

Une grosse = 12 douzaines d’œufs, soit 144 œufs. Mais, comme on dit aussi  "Treize à la douzaine," calculez le nombre d’œufs d'une grosse. 
Solution, comme dirait mon ami Eric : "On s'en fout ; une grosse = 12 douzaines d’œufs. Le reste, c'est du bénéf !"

Dans mon dernier message, je vous ai conseillé de lire le texte 6 de "DOUZE by Vittorio." Six comme autant de pieds du titre et du poème. Et j'ai vu que Carmen a mis la fin du texte sur son blog. J'ai trouvé que c'était un peu court... en somme. Alors, voilà, ci-après, le texte en entier.


SI J'AVAIS DES AILES

Si tu savais voler, 
voudrais-tu voyager  
pour voir d'autres pays ? 
Irais-tu en Finlande, 
en France, dans les Landes, 
ou bien en Australie ? 

Quand tu serais là-haut, 
très loin de tous nos maux, 
heureux, apparemment, 
dis-moi, aurais-tu peur 
du vide ou des chasseurs, 
de la pluie ou du vent ? 

Et si j'étais oiseau, 
quel serait mon fardeau ? 
Où serait l'avantage ? 
Aurais-je droit au ciel, 
aux branches au goût de miel, 
ou bien à une cage ? 

Ey puis, qu'est-ce que ça change ? 
Je ne suis pas un ange ; 
j'ai les pieds bien sur terre. 
Mais je peux, quand je veux, 
juste en fermant les yeux, 
m'élever dans les airs. 

Et pour l'oiseau de la semaine, je voudrais mettre à l'honneur le coq que l'on croit hautain et arrogant. Je veux parler du coq et ses poules mais, plus précisément de ces volatiles qui vivent encore à "l'air libre," nos cousins ailés qui ont un code, qui parlent et se font comprendre. 
Savez-vous que le coq cherche la nourriture, dès qu'il la trouve, il appelle ses poules, les fait manger d'abord et mange après. Combien d'hommes que l'on dit évolués font ainsi ? 
Non, l'Homme (1) préfère ne pas savoir, d'où vient ce qu'il mange, que les poules sont maltraitées, élevées en batterie, au nom de la rentabilité. (et je n'en dis pas trop !) 
Alors, pour le coq, AVIDOXE, le gars des villes et le gars des champs, dit : Respect

(1) comme dit Carmen : la moitié des hommes sont des femmes !

vendredi 1 février 2013

UNE CHANSON DOUZE POUR COMMENCER L'ANNEE

L'image que vous voyez de côté est la 1ère de couverture de "DOUZE" le 12e recueil de Vittorio Di Marco sorti le 20/12/2012. 
Que quoi parle-t-il ? De 12, le chiffre, bien sûr, mais pas seulement. Il parle aussi de douze, le mot, et de (presque) tout ce qui peut se dire en vers... et en prose. 

En fait, il est composé de 4 parties. 

- poésies de 1 à 12 ; réflexions sur la vie 
- textes rimés sur 12 pieds, fables, historiettes, humour et dialogue 
- les 12 mois de l'année en vers et pour tous ; aussi pour les enfants 
- un peu de culture sur le chiffre 12 dans le temps, les contes, etc. 

Douze est autour de nous, partout, dans le réfrigérateur, sur la lune, en Chine ou dans la bible ; ce chiffre est fascinant. Comme dit l'auteur : "Douze est simplement surprenant."
J'ajouterai : à lire avant le "Douzième coup de minuit !"

DOUZE, le recueil de Vittorio, n° ISBN est 978-2-9530691-1-2, a plus de 90 pages, dos carré collé, est vendu 9,00 € + les frais de port
Il vous suffit de le demander par un clic sur le e-mail de l'auteur :
dmvictor@libertysurf.fr 

Bonne lecture


de côté, un texte tiré du recueil

Pour l'oiseau du blog : lire la page 16 du recueil...