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dimanche 25 mars 2018

Tais-toi,ménage


Nous y sommes : c’est le printemps. Et, au printemps, que fait-on ? On, je ne sais pas. Mais moi, je fais du vide pour repartir d’un bon pied. 

Samedi dernier, pas avant-hier, le précédent, j’ai commencé par faire le tri. Il y en avait des choses accumulées en une seule petite année ! C’est tout de même incroyable ce que l’on peut acheter alors qu’on s’était dit : « Cette année, je n’ai besoin de rien. »
Et cette année, ou plutôt l’année dernière, j’ai acheté quand même. 

Bon, mais ce n’est pas tout, ça ! Je retourne à mon tri. Je mets d’un côté ce que je mettrai encore (j’ai commencé par les habits) et de l’autre ce que je vais donner ou vendre. Et voilà l’armoire vide. Et, puisque j’y suis, je la nettoie, non ? Mais, si, je fais le ménage. D’où sans doute l’expression « faire le ménage de printemps ».
Ensuite, le laisse aérer un peu et pendant ce temps, je m’attaque à la cuisine. Là, pareil, un verre ébréché : dehors ! Le meuble fini, je nettoie et laisse aérer.
Je retourne dans la chambre. Je remets ce que je continuerai de porter à l’intérieur de l’armoire et continue « les triages » partout dans l’appartement. Les tas à jeter ou à vendre augmentent. Je pense que je vais jeter plus, donner aussi et vendre ce qui reste. 

En fait, ce remue-ménage m’a pris plus d’une journée ; une semaine. Eh oui, car en plus je travaille. J’ai dû le faire en plusieurs fois. Mais, maintenant, j’y vois plus clair. 
 
Cette semaine, je vais m’attaquer aux papiers. Sûr, il y aura à jeter, détruire et classer. Heureusement que le printemps ne vient qu’une fois par an ! 

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lundi 19 mars 2018

Le dernier Homme sur Terre sera une femme ou...


J’entends déjà les féministes crier : « Pourquoi il y a un ‘H’ majuscule à homme et un ‘f’ minuscule à femme ? »

Alors, je vais essayer de vous expliquer :
Il se trouve que dans le langage écrit, en France, on met un ‘H’ majuscule pour indiquer ‘l’humanité’, soit les hommes et les femmes. 

C’est quand même un des premiers grands pas, sinon le premier, pour dire que les hommes et les femmes ont les mêmes droits et les mêmes devoirs.
Et, je ne me sens pas gênée de dire plus : les deux sont mêmement bêtes. 

Et d’ailleurs, il faudrait inclure dans ce terme ‘Hommes’ les animaux afin de leur éviter la maltraitance

Voilà. Ainsi, au lieu de dire : « Il se trouve que 50% des Hommes sont des femmes ; les autres sont de hommes », je dirai « un tiers des êtres vivants sont des bêtes ; les autres sont des tiers à deux pattes ! » Oh, comme j’aimerais dire cela ! Tellement, certains bipèdes, hommes et femmes, m’horripilent. 

Il n’y aurait plus de fourrure pour vous pavaner, mesdames. Il n’y aurait plus de sièges en cuir dans votre char idiot, messieurs. L’ère de l’Humanisme s’avance.
Le respect est un droit et un devoir.  

Maintenant, je reviens au titre : Le dernier Homme sur Terre sera une femme ou tout continuera mais, sans les Hommes. Eh oui, sans toi qui es en train de me lire et, surtout, sans ceux qui ne savent pas lire. 

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dimanche 11 mars 2018

De la neige à Fukushima



Je sais, mon tour pour le blog, c’est le lundi mais, je ne pouvais pas attendre car cet évènement est arrivé le 11 mars. C’est un anniversaire ! Je dois le rappeler. 

J’en ai parlé autour de moi et, selon la personne, on m’a dit « 24 heures de gros flocons de neige sans discontinuer sur Mulhouse » (Dm Victor) – « Attentats de Madrid du 11 mars 2004 » (Carmen Nath Nuez), etc. Chacun voit au plus près de soi. Et moi, j’ai dit « Fukushima ». 

C’était le 11 mars 2011, un vendredi. C’est grave aussi ! L'humain savait mais, il va au plus simple, il insiste et persiste. Errare humanum est, perseverare diabolicum. (Sénèque, il y a 2000 ans ! On aurait eu le temps de comprendre !)

En mémoire, j’aimerais mettre un poème de Vittorio DiMarco paru dans son recueil de poésies (est-ce vraiment une poésie ou un avertissement en rimes !) dont le titre aussi est surprenant : En vert la vie. (Envers la vie ? En vers l’avis ?) 
Voici : 

MESSAGE

Un beau complet-veston bleu-gris,
Un bon cigare.
Une moto, quelques amis,
Une guitare.
Une chanson qui se construit,
Une belle histoire…
Quand tout à coup le ciel rougit
Sans crier gare !
Une fumée de noir vêtue
Qui sent le soufre
S’élève au ciel, va dans les rues
Où elle s’engouffre.
Sournoisement, elle vient devant
Toutes les portes.
S’attaque à tout être vivant,
Jusqu’aux cloportes.

- Viens à mon aide !
- Il est, je crois, trop tard
Pour que je t’aide ;
T’aurais dû le prévoir.
- Viens à mon aide…
Viens à mon aide…

Soudain, je me suis réveillé
(C’était un rêve)
Dans mon lit en train de pleurer,
Brûlant de fièvre.
Mais le message était noté ;
Je te l’apporte :
«  L’HUMANITE DEVRA CHANGER
POUR QU’ON S’EN SORTE » !

- Et si tu m’aides,
Viens, il n’est pas trop tard.
Car si tu m’aides,
On pourra tout revoir.
Que si tu m’aides…
Que si je t’aide…
Que si Tu T’aides.

Oui, moi aussi, je pense qu’on aurait pu l’éviter. Mais, malgré tout et après tous cela, je ne crois pas que l’humain ait saisi le message. (Il n’y a qu’à voir les avis sur la fermeture de Fessenheim.) Notre avenir n’est pas certain…  

Je vous parle depuis le 11 mars 2018 ; à vous le lecteur… s’il en reste un.  

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lundi 5 mars 2018

Avant, le divorce



Le divorce, avant, était très simple : il fallait répudier sa femme et c’était fait. Et, quand cela n’était pas possible, il fallait qu’elle ait un accident ! 
Juste que, ce n’était pas à la portée de tous. C’était le choix du Roy !

Quand on sait que Charlemagne (né le, environ, 742 et mort en 814) a eu neuf femmes et dix-huit enfants, on se dit :
  • Soit il en avait plusieurs en même temps,
  • Soit il a dû divorcer plusieurs fois.
Eh bien, pour ce qui regarde Charlemagne, les deux versions sont bonne et, en même temps ! 
Ses femmes ont été répudiées ou sont mortes en couches ou plus tard, à tel point qu’un jour il cessa de se marier et prendra des concubines. 

L’empereur à la barbe fleurie, inventeur de l’école, n’est pas une exemple pour nos enfants d’aujourd’hui. 

Mais ce n’est pas le seul à agir de la sorte. On peut dire que tous les rois en ont usé et abusé. François 1er, Louis XIV, Napoléon Bonaparte, etc…  Le plus connu, c’était Henri VIII (1491/1547) qui a « fatigué » six femmes, d’une façon ou d’une autre, juste parce qu’il voulait un héritier « mâle »… qu’il a eu mais n’a pu régner, donc…  

Le divorce, de nos jours, en faisant abstraction du bien et du mal, s’est tout de même civilisé, non ? Après-tout, chez les rois, le dernier connu, c'était Lady Diana et depuis, la ferveur à ce procédé s'est calmée.

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