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vendredi 26 juin 2020

Changement à Fessenheim ; on respire


Ce lundi il se passera quelque chose de bien à Fessenheim : on commence à désinstaller la centrale nucléaire. 

Alors, évidemment, il y aura toujours des nostalgiques :
C’était mieux avant ou 
elle nous tenait chaud l’hiver ou 
qu’est-ce qu’on va bien pouvoir faire de cet espace, maintenant, etc. 

Heureusement, il y aura la nouvelle génération qui va s’approprier de na nature qui va naitre de l’après-usine. Elle va pouvoir respirer mieux et vivre tranquillement aussi bien de ce côté du Rhin que de l’autre côté. Le nouveau « Tchernobyl » prendra un autre chemin et cette fois-ci, il ne passera pas par les trois pays Allemagne-France-Suisse. 

Dormez en paix, braves gens, le danger est écarté.

Quant à ceux qui ont peur de manquer d’électricité, si vous aviez investi dans le solaire, il y a 50 ans, aujourd’hui vous seriez les maitres de l’énergie. Mais, vous ne l’avez pas fait. D’autres l’ont fait, par contre ! Pas de chance, il faudra acheter le matériel chez eux ! 

Se ressasser Fessenheim sans sa centrale, c’est sûr, c’est sans soucis céans.

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Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

vendredi 19 juin 2020

Auto-mobile pour débiles


En ce moment, l’État favorise les voitures électriques. Il vous fait des offres alléchantes afin que vous puissiez en acquérir une. Mais, comme on dit, à qui profite le crime ? 

Eh oui, c’est un crime ! Car, dans quelques années, pas cinquante ans, quelques-unes seulement, que va-t-on faire de toutes ces batteries usagées aux éléments nocifs et polluants qu’elles vont générer ? Quelles eaux vont-elles polluer ? Qui se pose la question actuellement ? Même pas les écologistes ! 

Mais, ce n’est pas tout. Pour fabriquer une batterie, un téléphone portable, un téléviseur ou un ordinateur, on a besoin de certains métaux et éléments qu’il faut aller chercher dans les mines. Savez-vous que ce sont des enfants aussi qui y vont dans ces mines insalubres ? Peut-on continuer à laisser faire ? Qui se pose la question actuellement ? Même pas les sociologues ! 

En fin de compte, le confinement ne vous a rien appris ! 

Pourtant, de rouler moins, de produire moins, etc. c’était visible sur notre atmosphère. Même la couche d’ozone s’est refaite. Nos poumons l’ont senti. Ce ne sont pas les diésels qui sont polluants, c’est tout un ensemble. Mais, d’en accuser « un », ça donne bonne conscience à nos élus. Ils, et elles, ne vont pas aller en vélo pour autant… parce que c’est plus difficile d’utiliser son portable à bicyclette. Et, de toute façon, maintenant, la mode est au vélo électrique ! Celui avec la batterie qui pollue… 

Bah, on s’en fout ! On ira la faire désosser par les enfants des pays pauvres ! Est-ce vraiment ce que vous pensez ? Même ces pourris d’industriels et leurs actionnaires qui ne savent pas ce que c’est de travailler commencent à y réfléchir… 

Parce que, les pauvres, c’est vous, c’est nous, les humains.
Et comme mon ami l’a dit la dernière fois, sachez juste que : « Comme on fait son lit on se couche ! » 

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vendredi 12 juin 2020

Les vieux, ce sera nous, les jeunes


C’est quoi toute cette haine contre les personnes âgées ? Pourquoi cette violence envers les vieux ? Et quand on ne voit pas l’agressivité, c’est parce qu’il y a de l’indifférence ! Ce n’est pas mieux. 

Tout avait commencé par « faut-il continuer à laisser conduire les plus de 70 ans. » Rappelez-vous. Vous faisiez peut-être partie de ces râleurs antivieux. 

Maintenant, vous l’avez sans doute occulté parce que, ça y est, vous avez 70 ans ! Et comme c’était vous le râleur en chef, vous vous taisez parce que maintenant vous faites partie des concerné mais vous voulez, vous, continuer à conduire votre voiture. 

Rassurez-vous, les temps ont changé. De nos jours, les personnes comme vous, on ne les empêche plus de prendre leur voiture puisque les voitures roulent toutes seules, non, on les met dans des EHPAD ! 

Alors, l’EHPAD, qu’est-ce que c’est ? Initialement, c’était la possibilité de donner aux personnes âgées un certain confort et une sécurité qu’elles ne pouvaient plus trouver chez leurs enfants puisqu’ils travaillent tous. Au fil du temps, c’est devenu un espace où on réunit les anciens pour qu’ils soient entre eux, fassent des activités plus calmes ; choses qui leur conviennent comme lecture, télé ou même sport mais adapté. 

Avec le coronavirus, on leur a supprimé les visites. Est-ce un bien ? Je pense que oui ; moins on voit de gens de l’extérieur, mieux on se porte ! Pour certains, je crois que non ; être coupé de ses proches, c’est être entre les lents et le cimetière. 

Et je reviens à mon histoire de permis de conduite pour les vieux. Maintenant que tu es arrivé à l’âge sage, il te plait de pouvoir te déplacer par tes propres moyens. Alors, que comptes-tu faire, pour toi, dès que tu auras besoin d’aller en EHPAD ? 
Et toi, le jeune, ne ris pas. Tu es le prochain sur la liste. Alors, réfléchis-bien, que comptes-tu faire pour le vieux que tu seras bientôt ? Pas de permis de conduire ? Réduction de la retraite ? Mise forcée dans l’antichambre de la mort ? 

Sache juste que, comme dit le proverbe : « Comme on fait son lit on se couche ! » 
Alors, heureux ? 

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vendredi 5 juin 2020

Les rats passent l'art aux mains


Puisque cette semaine c’est à moi d’écrire ce qui m’a attiré l’attention, j’aimerais vous raconter une belle mais triste histoire que j’ai suivi à la télé. Ce n'est qu'une fable et, à mon avis, le seul qui pourra la comprendre ce sera le plus vieux de nous quatre : Vittorio. Vous me direz...

C’est l’histoire d’un gars qui s’appelait Nilda Boileau. Il était chanteur par hasard ; dans son cas ‘par accident’ puisque tout ce qu’il a fait me semble être arrivé par accident. Il s’exprimait à cris et strophes. 

Un jour il tombe en amour pour une fille dont le père est torréfacteur. Ils font un enfant, je précise, ensemble mais, il ne le reconnait pas ! Les ogres l'avaient grimé, sans doute ! 
Alors, il écrit une chanson au titre bizarre : « Pas de prob Bob » ! Une chanson qui parle d’un jaune qui ne semble pas être bien venu, genre ocre, et gâche la fête en noir et blanche. Et, tout de suite après, il en écrit une autre : « L’avant-dernier des Boileau ».

Nous, public, comme on ne comprend pas les textes, puisqu’on n’écoute pas les paroles, on oublie tout… enfin, comme des ‘brels’, on n’oublie rien, on s’habitue, c’est tout ! Et le temps passe… il repasse… ça le dépasse et le chanteur trépasse ! Le temps nous aura tous. Ainsi va la vie. C’est notre lot commun.

Et c’est là que l’on entend reparler de l’enfant de Boileau et de la fille du torréfacteur que l’on pourrait appeler : ‘Elle’ car pour l’enfant, ‘Elle’ est cinquante et sensée. Et, comme c’est une femme, elle a des miches Elle.   
L’enfant, lui, on peut l’appeller Louis. Pourquoi pas ; c’est toujours mieux que ‘Chiffre’ ! D’ailleurs, il aurait pu s’appeler ‘Arabe’ ou habiter Rome un certain temps ! Ce n’est ni mieux ni moins bien, c’est un prénom. 
Et, naturellement, certains journalistes, les rapaces, les corbeaux, qui sont toujours aux aguets commencent la traque aux petits faits divers, les faits aliens, les faits d’E.T., les fait d’entêtés, les faits de les gars à terre ! 

Comment cette histoire pourrait-elle trouver une solution ? L'avant-dernier des Boileau, à défaut d’être connu, sera-t-il reconnu ? 

En même temps, un de mes professeurs me disait : « La réponse est contenue dans la question. » Donc, vous l’avez lue si, et seulement si, la deuxième enfant, qu’on pourrait appeler Claire, éprouvera le besoin d’un frère, même à moitié ! Sinon, Claire perdra Louis et Louis ne verra pas Claire… pour le restant de leurs jours. Ce serait ballot… pour les derniers des Boileau. 

Voilà, ma fable s'arrête là... pour nous... car les rapaces, les corbeaux, veillent et surveillent ! 

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