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vendredi 5 juin 2020

Les rats passent l'art aux mains


Puisque cette semaine c’est à moi d’écrire ce qui m’a attiré l’attention, j’aimerais vous raconter une belle mais triste histoire que j’ai suivi à la télé. Ce n'est qu'une fable et, à mon avis, le seul qui pourra la comprendre ce sera le plus vieux de nous quatre : Vittorio. Vous me direz...

C’est l’histoire d’un gars qui s’appelait Nilda Boileau. Il était chanteur par hasard ; dans son cas ‘par accident’ puisque tout ce qu’il a fait me semble être arrivé par accident. Il s’exprimait à cris et strophes. 

Un jour il tombe en amour pour une fille dont le père est torréfacteur. Ils font un enfant, je précise, ensemble mais, il ne le reconnait pas ! Les ogres l'avaient grimé, sans doute ! 
Alors, il écrit une chanson au titre bizarre : « Pas de prob Bob » ! Une chanson qui parle d’un jaune qui ne semble pas être bien venu, genre ocre, et gâche la fête en noir et blanche. Et, tout de suite après, il en écrit une autre : « L’avant-dernier des Boileau ».

Nous, public, comme on ne comprend pas les textes, puisqu’on n’écoute pas les paroles, on oublie tout… enfin, comme des ‘brels’, on n’oublie rien, on s’habitue, c’est tout ! Et le temps passe… il repasse… ça le dépasse et le chanteur trépasse ! Le temps nous aura tous. Ainsi va la vie. C’est notre lot commun.

Et c’est là que l’on entend reparler de l’enfant de Boileau et de la fille du torréfacteur que l’on pourrait appeler : ‘Elle’ car pour l’enfant, ‘Elle’ est cinquante et sensée. Et, comme c’est une femme, elle a des miches Elle.   
L’enfant, lui, on peut l’appeller Louis. Pourquoi pas ; c’est toujours mieux que ‘Chiffre’ ! D’ailleurs, il aurait pu s’appeler ‘Arabe’ ou habiter Rome un certain temps ! Ce n’est ni mieux ni moins bien, c’est un prénom. 
Et, naturellement, certains journalistes, les rapaces, les corbeaux, qui sont toujours aux aguets commencent la traque aux petits faits divers, les faits aliens, les faits d’E.T., les fait d’entêtés, les faits de les gars à terre ! 

Comment cette histoire pourrait-elle trouver une solution ? L'avant-dernier des Boileau, à défaut d’être connu, sera-t-il reconnu ? 

En même temps, un de mes professeurs me disait : « La réponse est contenue dans la question. » Donc, vous l’avez lue si, et seulement si, la deuxième enfant, qu’on pourrait appeler Claire, éprouvera le besoin d’un frère, même à moitié ! Sinon, Claire perdra Louis et Louis ne verra pas Claire… pour le restant de leurs jours. Ce serait ballot… pour les derniers des Boileau. 

Voilà, ma fable s'arrête là... pour nous... car les rapaces, les corbeaux, veillent et surveillent ! 

Bon, sérieux ; j’en profite aussi pour faire de la pub pour notre nouveau copain Ant Askman qui écrit des livres intelligents de poésies et de nouvelles. Enfin des livres où je ne m’ennuie pas ! Un clic sur le lien et vous pourrez lire quelques pages. Merci.  

Bien ! Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Ant Askman, cap Morgenspat, Ecrire Pastel, Éric Valloni, gravillons et VittorioDenim. Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !

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