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dimanche 24 juin 2018

Que si personne ne m'oblige


Je fais partie de ces gens qui ne comprennent pas pourquoi on discute si on doit ou pas travailler le dimanche ; je suis serveur dans un restaurant et je travaille tous les dimanches. 

D’ailleurs, je travaille dans un restaurant où les gens, qui sont contre le travail le dimanche, viennent manger pour discuter de cela, justement. 
Ils ont toutes les raisons du monde d’empêcher le travail le dimanche et, je me demande la tête qu’ils feraient si je ne leur servais pas leur choucroute ou leur verre de bière ! Si, pour retourner chez eux, le pompiste était fermé car ils ont oublié de faire le plein d’essence. Si, à la centrale électrique, l’équipe coupait le courant du samedi soir au lundi matin. Etc. 

Eh oui, il y a des tas de gens qui travaillent le dimanche ; même le curé. Mais, lui, ce n’est pas du travail puisqu’il est de service 24 heures sur 24 et ce n’est pas un métier mais un sacerdoce. 

Mais alors, cela veut dire que certains ne doivent pas travailler le dimanche mais que d’autres sont obligés ? Que ce qui n’est pas bon pour certains l’est pour d’autres ? Quoi ! Nous ne sommes pas égaux ? 

Moi, je ne suis pas pour travailler le dimanche. Je le fais parce que j’ai faim et je n’ai pas trouvé autre chose. Je ne peux même pas dire que quelqu’un m’oblige mais, si je ne travaille pas, je ne pourrai pas payer mes factures, je ne pourrai pas payer mon loyer, les impôts, mon manger, etc. 

Je n’ai pas la solution pour m’arrêter de travailler le dimanche mais, il y a quelque chose qui me dérange quelque part ! 

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dimanche 17 juin 2018

Sur l'autoroute de l'égalité


Avec ma Renault Clio j’ai rivalisé contre une Porche, une Ferrari et une Jaguar. En même temps ! Ne me demandez pas le type, je n’ai pas fait attention. 

Voici comment s’est passé l’épreuve. 

J’étais au volant de la ma petite Clio quand je vois une Porche qui me dépasse. Bon, pourquoi pas ! Mais, voici qu’une Ferrari la suit. Je me suis dit : « Tiens, ils tournent un remake de ‘Amicalement votre’ et je serai sur l’image. » Je n’ai pas fini ma remarque qu’une Jaguar me dépasse aussi ! Je me suis dit : « Ah non, ça, ce n’est pas possible ; ce n’est pas un film ! » Du coup, je me mets sur la file de gauche et je les dépasse. Toutes les trois. 
La Porche me dépasse à nouveau, ainsi que la Ferrari, par la droite, cette fois. « Hé, ça, c’est pas bien ! On ne dépasse pas sur l’autoroute par la droite, c’est dangereux ! »
Je change de vitesse. La Jaguar est derrière, elle me suit. 
Je dépasse les deux voitures. La Jaguar, qui me suit, les dépassé aussi. Nous sommes en tête. 
Le jeu des dépassements continue bien pendant quinze à vingt minutes. 
Une fois l’une est en tête, une fois l’autre, une fois moi suivi de la Jaguar. Le défi devient de plus en plus intéressant. Le jeu devient plus serré mais, je mène. 
Je mène, je suis devant. Je suis curieux de voir qui va gagner : une petite voiture de prolétaire contre trois voitures de riches… ou pas car, avec un crédit, on peut tout faire… 
 Bref, à ce moment-là, je mise sur Ferrari. La Porche réagit mais, elle est bloquée par un camion et la Jaguar est toujours derrière moi.

Finalement, au bout de trente minutes d’embouteillage, c’est moi qui passe le premier au péage. 

Je ne comprends pas pourquoi elles se sont mises du côté des « paiements en espèces » ; les riches n’ont plus droit aux cartes de crédit ou alors elles étaient coincées dans les mauvaises files ? 

Puis, plus loin, les voitures me dépassent et poursuivent leur route, ignares de cette belle aventure. 

J’avais autre chose à faire. La course poursuite ne m’intéressait plus. Je les ai laissées filer. De toute façon, moi, ce qui m'importe, c'est d'arriver vivant.

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dimanche 10 juin 2018

Qui commande qui ?!

Il suffit de passer le pont

Il est inutile de prévenir la C.I.A., le K.G.B. ou le Canard Enchainé ; cette histoire est une blague, une boutade, une hâblerie. D’ailleurs ; la CIA est déjà sur un autre bateau, le KGB a d’autres chats à fouetter et, pour le Canard Enchainé, il n’y a pas assez de jeux de mots beaux. Il y a bien 3 corps laids mais ça ne suffirait pas pour faire un titre accrocheur. 

Bref. 
Donny, Vlad et Manu sont sur un bateau. Donny tient une bouteille en main ; du bourbon. 
Vlad le voit, termine de boire sa vodka, jette la bouteille vide par-dessus bord et lui dit : « Je te parie 1 dollar que je casse ta bouteille sans la toucher. » 
Donny répond : « Toi, tu n’es qu’un prétentieux ! » Et il casse lui-même sa bouteille pour montrer à Vlad que personne ne pourra plus la casser. 
Vlad dit alors : « D’accord, tu as gagné. Voici ton dollar. » 
Il donne 1 dollar à Donny puis se retourne et dit à Manu : « Tu vois Manu, la bouteille est cassée et je ne l’ai pas touchée. J’ai gagné le pari. Tu me dois 5 dollars. » 
Manu donne les 5 dollars à Vlad et s’adressant aux deux copains dit : « Hé, les gars, il semble qu’il n’y a plus rien à boire sur le bateau et j’ai du champagne à vendre. 500 dollars la bouteille. Vous êtes intéressés maintenant ? » 

Voilà, c’est juste un joke. On me l’a racontée et je la répète. 
Economiquement, je suis nul ; je ne vois pas bien la morale mais, peut-être que dans le commerce il n’y en a pas ! 

Ah, j’ai failli oublier (bien que je ne saisis pas son importance ou son rôle) : le bateau est sensé s’appeler « Petite Annick ». 

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dimanche 3 juin 2018

Dis que t'es... culte


J’ai lu que Prosper Mérimée, l’auteur de "Carmen" ou "Colomba", avait organisé, au château de Compiègne, un concours de dictée (sans doute ce fut lui qui inspira quelques temps plus tard la fameuse dictée à Bernard Pivot !) 

Or, il avait imaginé un texte dans lequel il avait accumulé un grand nombre de pièges orthographiques et, il avait convié à ce concours un certain nombre de personnes dont certaines étaient connues. 

Ainsi, Napoléon III fit 75 fautes et son épouse l’impératrice Eugénie n’en fit que 62. Alexandre Dumas fils (auteur de la Dame aux Camélias) en fit 24, Octave Feuillet de l’Académie Française 19 et le Prince de Metternich, ambassadeur d’Autriche se contenta de 3 fautes seulement. 

L’histoire ne dit pas si la cuisinière du château ou le jardinier participèrent (et on passa sous silence leur résultat, qui devait être nul ; soit 0 fautes) mais, on peut constater que pour diriger un pays, il n’est pas nécessaire de savoir écrire le mot sans faute. Pour être écrivain ou à l’Académie Française non plus !
Ceci qui laisse beaucoup d’espoir à nos jeunes ! Tous les métiers leur sont possibles, même cuisinier, chauffeur ou jardinier. 
Pas empereur ; nous sommes en démocratie mais, faut pas déconner non plus. 

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