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dimanche 27 février 2011

EN HIVER, MERE NATURE TRAVAILLE A PRINTEMPS


On dit que l'hiver la nature se repose. C'est vrai comme pour nous, les humains, qui passons une nuit à dormir pour être en forme dès le matin venu. La différence est que pour la nature, sa nuit est plus ou moins courte selon les années.

Cette année il pleut en février et ça me rappelle un proverbe :

- Pluie en février, le blé dans les greniers

ce qui laisse à supposer que la nature est en train de préparer, au moins, ses 2 prochaines saisons ; la printemps et l'été, puisque le blé se récolte en été.

Or, nous sommes en hiver jusqu'au 21 mars.
Donc la nature, cette année, a commencé son travail plus tôt. Le réveil des arbres et autres plantes est en bonne voie. Les oiseaux migrateurs vont revenir plus tôt aussi. Nous assistons au changement de l'année naturelle. Le blanc deviendra vert. Le camaïeu de gris se métamorphosera et jaune, rouge, bleu, etc. Le printemps se fait maintenant.

En attendant, il pleut.

pour patienter, je vous joins une image du génial "Mauritz Cornelis Escher"

vendredi 18 février 2011

LA PLUME ET L'ENVOL ou L'APHORISME


Je viens de lire le mot du blog « SelonCarmen Nath » et, à part que je me suis amusé de son petit jeu, j’ai apprécié sa façon ludique de dire des choses graves : la parité hommes femmes, le respect, la façon de penser selon l’âge...

J’ai relevé aussi que Carmen a cité un trait d’esprit de mon Ami VittorioDenim : « Les cris sont inutiles sans l'écrit. »
J’y ai réfléchi et me suis souvenu de sa vraie version. Dans un de ses recueils, Vittorio avait écrit : « Les cris sans l’écrit se perdent dans l’indifférence. » Alors, je relate ici sa juste version qui me semble plus belle. En tous cas, elle s’adapte mieux à mon blog qui parle d’oiseaux étranges, comme les écrivains, par exemple.

Oui, les écrivains ! Car, pendant que les uns vivent avec des plumes, les autre vivent de leur plume. Même si certains n’arrivent pas à prendre leur envol, tous prennent leur pied. Je peux vous l’assurer.

Je reviens à l'aphorisme de VittorioDenim : « Les cris sans l’écrit se perdent dans l’indifférence. » Il signifie simplement que dire les choses, c’est bien mais, l’écrire permet d’atteindre plus de personnes et plus loin que n’arrivent les sons.

Alors, si tu sens que tu as quelque chose à dire, n’attends pas d’avoir un auditoire, écris tes mots sur un bout de papier, mets-le dans une bouteille et jette le tout à la mer de l’espèce Humaine.
Quelqu’un finira par te lire. La preuve : tu es en train de lire un message dans un blog.

Bonne Lecture et à bientôt…

dimanche 13 février 2011

La SAINT VALENTIN - les colombes et les pigeons


Le 14 février c'est la Saint Valentin, la Fête des Amoureux. Pour ceux et celles qui y croient, c'est beau. Pour les autres, ils peuvent quand même faire un petit geste l'un envers l'autre pour que ça le soit. (beau)

Les idées sont multiples et vont de la fleur cueillie dans le jardin, au diamant, en passant par le restaurant ou la fin de semaine à l'hôtel. Le seul point noir est que, quand les fins de mois commencent le 10, à cause des crédits, le 14, on a intérêt à avoir plus d'imagination que les plus aisés.

Ainsi, la fleur cueillie dans le jardin, ne coûte pas cher sauf si on n'a pas de jardin. Dans ce cas, le challenge est plus beau mais, dangereusement risqué car le vol est passible d'amende et de prison et le jardinier n'aime pas qu'on piétine ses plates bandes ou qu'on abîme ses rosiers.
La solution la moins onéreuse est donc d'acheter une rose. Pour 3 euros, on peut avoir quelque pot de fleur ou bouquet sinon, il faut se rabattre sur l'achat d'une carte. En tous cas, il faut faire quelque chose.

Bref, dans cette société de consommation, il suffit qu'on bouge et il faut payer. D'ailleurs, si on ne bouge pas, il faut payer aussi. "Circulez, il n'y a rien à voir !"

Conclusion, la Saint Valentin est une fête de Consommation inventée par les commerçants pour plumer les pigeons. Pour cela, ils font croire aux pigeons qu’ils sont des colombes.
Mais bon ! C’est quand même agréable.
Et puis, c'est beau des tourtereaux !

vendredi 4 février 2011

L'IRRITAGE DE MON ONCLE D'AMERIQUE - 3ème et dernière partie (?)


En image, un aigle. Plusieurs pays l'ont pris comme symbole. Les États-Unis, le Mexique, l'Allemagne (l'aigle à 2 têtes), etc... C'est aussi l'oiseau représentatif de Saint Jean de Patmos, l'évangéliste.
Pour moi, je citerai une chanson de Johnny Halliday : ... et quand l'aigle est blessé, il revient vers les siens.
Ce qui fait une bonne transition pour terminer mon histoire d'héritage.

La lecture continue.
... La mairie a un droit de péremption sur l’immeuble, le bâti et le non bâti. Il y a, par ailleurs un arriéré de taxes et d’impôts à payer car, depuis 50 ans, rien n’a été fait, au niveau de la commune, de la région et de l’état…

Là-dessus, la situation vous parait évidente. Cette portion d’héritage vous coûtera 10 fois plus cher qu’elle ne vaut, affection comprise. Vous refusez la succession. Et puis, la famille ça va 5 minutes. Après, elle devient envahissante et a tendance à vous commander.
Alors, vous repartez vers cette maison dont vous avez payé, 300 mensualités, épargnées avec peine, mois après mois, pour payer un crédit sur 25 ans mais, qui est à vous. D'ailleurs, à ce moment précis, vous êtes content de payer les taxes pour ne pas laisser à vos enfants le plaisir de dire :

- Quel pingre ! il a profité de tout et de tous et jusqu’au bout !

Sur le voyage du retour, un autre souvenir sur votre oncle vous revient.

- Il m’avait apporté ce pull le jour où il a emprunté, à mon père, l’argent du voyage pour aller aux USA. Une somme qu’il n’a jamais rendue.

Il y a de quoi être irrité, non ?