Je continue ma croisade anti-pollution mais, pas
seulement. Dans l’écologie et l’environnement, il y a aussi tous ces animaux en
voie de disparition (ou qui ont déjà disparu).
Le texte qui suit parle des baleines mais, il
pourrait parler d’un tas d’autres animaux confrontés à l’être qu’on dit humain
et qui ne pense pas, monsieur, ne pense pas ! Il tue ! Directement ou
indirectement.
Le texte est tiré du recueil de poésie « En
Vert la Vie » ; ISBN 978-2-9530691-2-9 ; page 46 et 47.
BALEINE
Les colères de
l’océan
Ne sont pas un grand
souci
Et, depuis la nuit
des temps,
Je vis avec lui.
Rien ne me crée de
tourments,
Ni la pluie, ni
l’ouragan ;
Aucun des éléments.
Sur cette planète
bleue,
Tout ce qui vit y
vit en paix.
Un seul se prend
pour Dieu.
De ceux de la
création,
L’homme est notre
seul danger ;
Le seul qui tue, et
sans raison.
Est-ce notre poids
géant
Qui surprend et vous
fait peur ?
Une baleine, ça
n’est pas méchant,
Ça vit et ça meurt.
Moby Dick revoit
encore
Ceux qui
harponnaient son corps,
Et sans aucun
remords.
Elle a pourtant
décidé,
Et ce, malgré la
douleur,
De tout vous
pardonner.
Car sur la planète
bleue
On peut y vivre à
plusieurs,
Homme, ouvre tes
yeux…
… (à défaut de ton
cœur.)
L’auteur, V.DiMarco
dit dans les premières pages : « J’ai fait peu : j’ai fait un
livre. Je l’ai envoyé prévenir les gens ; ce n’est pas grand-chose. Mais toi,
qu’as-tu fait pour toi ? Qui soit positif ? Et, si chacun fait
un peu, nous réussirons là où les politiques ont échoué. »
Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs :
avidoxe, Dan et Dina, dinadedan, Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, gravillons, polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS
68 ».
Bonne lecture et, partagez. Faites-le pour vous, partagez !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire