Nous y voilà, c’est la fin.
Autant en
emporte le vent et au temps pour moi, je vais vous quitter avec ce dernier
texte : Zéphyr, pris dans le recueil de poésies écologiques de V.DiMarco : "En Vert la Vie".
La semaine prochaine, vous aurez un texte de l’un de nous quatre, celui ou
celle qui veut reprendre le flambeau.
Moi, j’ai donné et je ne peux pas dire que j’ai été beaucoup lu… et ce
n’étaient pas mes textes !
Mais, que voulez-vous, l’écologie,
l’environnement, tout le monde s’en fout ! Nous allons à notre perte mais,
comme nous serons morts avant, ce n’est pas notre problème, c’est celui du
voisin, de ses enfants et petits enfant !
Mon voisin est con et ses enfant
sont des pestes, alors … !!! et encore !!!
Nous oublions juste que 'nous' sommes le voisin de notre voisin !
Nous oublions juste que 'nous' sommes le voisin de notre voisin !
Quand même, je suis content que Vittorio
ait placé ce texte à la fin de son livre ; il est un peu rassurant. Il y a
de l’humanité dedans.
Jugez plutôt :
ZEPHYR
Imagine un homme aux
yeux bleu pale,
Au regard, toujours,
posé un peu plus loin,
Les cheveux trop
longs, la veste sale…
Pour seule
compagnie, il avait un chien.
Quand j’habitais le
pays,
Je traînais souvent
chez lui ;
J’étais sûrement son
seul ami.
Il me parlait de la
paix,
Des pays qu’il
connaissait
Et des gens qu’il
avait rencontrés.
Zéphyr, ton prénom
vient s’étendre
Au pied de ce grand
châtaignier
Où, ton chien,
encore aujourd’hui, vient t’attendre ;
Pour lui, un seul
mot : la fidélité.
Tu disais :
« Ne ferme pas ta porte,
Il faut aller vers
les gens, aider son prochain ».
« C’est le
temps qui passe qui nous emporte ».
Aujourd’hui, il ne
me reste plus que ton chien.
Quand je reviens au
pays,
Aussitôt, ton chien
me suit :
Il sent que je vais
voir cet ami
Qui me parlait de la
paix,
Des pays qu’il
connaissait
Et des gens qu’il
avait rencontrés.
Zéphyr, le temps est
passé prendre,
Trop tôt, ce poète
au cœur d’enfant.
Dans les branches,
en automne, on croit t’entendre…
Le zéphyr, après
tout, ce n’est que le vent.
Voyez-vous, des fois je me dis qu’un
animal a plus d’humanité que nous les Hommes. Les idées d’avant étaient bonnes pourtant...
mais l’argent a tout pourri.
Bonne chance pour votre futur !
Et, bonne méditation, (mais, pas trop
longue ; le temps presse !)
Comme convenu avec mes amis, voici leurs
blogs : avidoxe, cap Morgenspat, Dan
et Dina, dinadedan, Ecrire
Pastel, Tandem
Littéraire, Éric
Valloni, gravillons,
polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le
pour vous, partagez !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire