Bonjour à tous, je suis de retour.
Les vacances, c’est bien mais, il ne faut
pas qu’on s’y habitue. Sinon, la reprise est difficile. Et la reprise est
difficile. Quoi que… je reprends lundi, alors !
Bien ! Donc, on y va. Je vous ai
laissés il y a plus d’un mois avec le poème qui traitait du
« Respect ; j’espère vous avez eu le temps de méditer dessus.
Le respect ne s’exige pas, il se mérite.
Le respect s’apprend, aussi. Et, si vous l’apprenez à vos propres enfants, ils
vous respecteront et ils seront respectés, ne fut-ce que pour cela.
Bien. Aujourd’hui, en tournant la page du
recueil « En Vert la Vie », nous nous trouvons devant un titre à
double sens : « Les Six Sens » ! Ce qui donne
« l’existence » à ne pas en douter !
Je vous laisse lire et on
se parle après.
Les Six Sens
Etre le matin
Dans une clairière
Pour VOIR le soleil
A son lever.
TOUCHER d’une main,
Mais sans rien
faire,
Toutes les
merveilles
Qu’on peut trouver.
SENTIR un moment
L’odeur des roses.
Respirer l’air
frais,
Humide un peu.
ENTENDRE le vent
Qui, dans les
ronces,
Crie tous les
secrets
Des temps plus
vieux.
GOUTER tous les
fruits,
Même les mûrs
Et se rappeler
De leur saveur.
Et faire partie
De la nature
Pour y COMMUNIER
Avec son cœur.
A première lecture, ce poème est d’unesimplicité enfantine. On dirait que l’auteur a jeté des mots en l’air et qu’ils
se sont posés sur le papier sans l’aide de personne… Et puis, quand on sait le
travail qu’il faut pour faire simple, on se demande !
Ensuite, on est
obligés d’admettre que le texte va plus loin qu’une explication de carte
postale : l’auteur nous a emmenés progressivement vers une façon de vivre
plus saine et pour cela, les sens ne
suffisent plus. Il en faut un sixième pour vivre en bonne entente avec le
milieu d’où l’on vient : la nature.
Voilà pourquoi il y a une pollution
constante qui nous assaille de tous côtés sur cette planète. Voilà pourquoi la
créature appelée ‘Humain’ a un problème avec la nature : il a perdu son
sixième sens et ‘Tous les Humains’ en paieront le prix !
Dans cette évolution que nous appelons
progrès il n’est pas prévu de retour en arrière. Progresser signifie continuer.
Il n’y aura donc pas de plan « B » non plus.
Alors, on se dit adieu tout de suite car
l’avenir n’est pas sûr. Celui qui reste souffrira plus longtemps. Voilà tout !
Comme convenu avec mes amis, voici leurs
blogs : avidoxe, Dan et Dina, dinadedan, Ecrire
Pastel, Tandem
Littéraire, Éric
Valloni, gravillons,
polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le
pour vous, partagez !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire