Le revers de la médaille a encore frappé

Quand je pense au post du 15 mai, celui qui se termine par une question sur le choix, je ne peux m’empêcher de philosopher. 

Bon, c’est un bien grand mot, alors, disons que je ne peux m’empêcher de me poser des questions. 

C’est-à-dire que je réponds à une question par des questions ! 

(Et c’est ainsi qu’il est devenu fou !) 

 

En fait, le choix est simple puisque la question est simple et dirigée : soit c’est oui, soit c’est non ! 

(C'est ce qui est fait dans les sondages où de drôles d'oiseaux manient la plume et, à travers nos manies, nous prennent pour des pigeons à plumer.) 

Et puis, je me suis rappelé de cette fois où j’ai lancé une pièce en l’air pour jouer à pile ou face. J’avais une décision à prendre, je voulais me dégager de la responsabilité. Je voulais faire répondre le hasard et j’ai dit : « Pile, je le fais. Face, je ne le fais pas. » C’est simple ! 

Juste que la pièce est tombée sur la tranche… et là, j’étais bien embêté car je découvrais qu’il y avait un troisième choix : « Je m’abstiens de répondre. » 

Il faut savoir que la tranche, c’est ce troisième côté sans lequel les deux autres côtés ne peuvent exister ensemble, sans lequel rien n’est possible, d'ailleurs ; ce qui nous permet de voir en 3D, comme on dit actuellement. 

Mais, alors, s’il y a au moins 3 réponses possibles à chaque fois qu’une question est minimale, pourquoi n’y en aurait-il pas plus  quand elle est dirigée, voire « sous-entendue » ? 

Par exemple : « Je peux reprendre l’initiative ou je peux laisser choisir quelqu’un d’autre. » 

Ce qui nous mène à déjà 4 possibilités. (et, des "quelqu'un d'autre", il y en a 7 milliards !) 

Le revers de la médaille, ça m’énerve ! 

Pour terminer, si à cette vision en 3d (largeur, hauteur et profondeur) vient se mêler Albert Einstein et qu’il y introduit la notion temps, je ne te dis pas le mal de crâne ! 

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