Tout
d’abord, une vieille histoire du temps de Rome.
Il
parait que, vers l’an 40, pour raison d’état, l’empereur Vespasien avait besoin,
pour des tas de raison, de renflouer les caisses de l’état laissées, dans
l’état, en piteux état par son prédécesseur Néron (souvent en état de démence).
Alors, il mit en place une série d’impôts dont celui sur les pissotières
publiques qu’on appelle aussi « vespasiennes ».
Critiqué par son
fils, il aurait répondu : « pecunia non olet » c’est-à-dire
« l’argent n’a pas d’odeur ».
Ensuite,
voici une deuxième histoire, contemporaine, celle-là.
Les
végétaliens, les végétariens, les Hindous, les Sikhs, etc. ont réclamé, la
semaine dernière, à la Banque Centrale d’Angleterre afin qu’elle arrête d’utiliser
de la graisse animale pour la fabrication des billets de 5 et 10 Livres et pour
qu’elle retire de la circulation les billets déjà émis. Ils n’en sont pas à leur première pétition.
Alors,
je me demande…
Si
on donnait une somme conséquente mais payée avec ces mêmes billets, combien
‘d’anti-viande’ refuseraient ?
Je
pense qu’on pourrait les compter sur les doigts de la main quitte à être au
bout de l’index de la ligue des ‘doigts’ de l’Homme. Chacun a besoin d’un coup
de pouce pour vivre, même s’ils sont majeurs. Et, on constaterait que, deux
mille ans plus tard, l’argent n’a toujours pas d’odeur !
D’ailleurs, de
nos jours, en plus, il empêche d’avoir du tact !
PS : L'oiseau de la semaine est encore le "Pigeon" voyageur. Lors de la première guerre mondiale, appelée aussi la Grande Guerre, on utilisa le pigeon voyageur pour faire des photos de sites litigieux. On pourrait dire que le pigeon est l’ancêtre du drone.
On n'invente rien ; on modifie.
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