Et
nous voici arrivés à la lettre « L », à mi-chemin, en somme, de la
partie 2 du livre « En Vert la Vie ». Qu’avons-nous appris ?
Plein de choses. Qu’avons-nous retenu ?
Ah !
Parce qu’il fallait retenir quelque chose ? Vous auriez pu nous
prévenir !
Ben
voyons ! Quand les mâche-média ne sont pas là pour mettre en évidence ce
qui est important, par soi-même, on ne fait plus rien. Nous sommes tous des
assistés, en fin de compte ! Tous pareils donc tous interchangeables…
Bref !
A la lettre « L comme Lune, L comme 50», nous retrouvons le mot
Licenciement : "L" comme ‘Dégage, tu es Viré’ qui, mis en facteurs donne :
Licencié. Mais, attention, tu n’as pas reçu un diplôme, une licence, mais juste ta feuille
de route vers Pôle-Emploi ! Et c’est là que tu t’aperçois qu’à force de ne
plus les utiliser, tu ne sais plus te servir de tes propres ‘ailes’. (Qui s’écrit
avec un seul ‘L’ pour te faire tourner en rond !)
Pour
certains, ce sera la chute, parfois, brutale !
Voici
le poème paru dans « En Vert la Vie » de V.DiMarco, 2014 :
Licenciement
Encore un arbre est
tombé :
Déraciné des temps
modernes.
On a beau nous
expliquer
(On suppose :
par qui nous gouverne)
Qu’il nous faisait
ombrage,
Qu’il n’était pas un
abri.
Que, si on était
bien sage,
On ne sera pas
compromis.
Qu’il sera, et en
nombre,
Remplacé, et sans
peine.
Mais en attendant
son ombre,
Il nous manquera
l’oxygène.
Heureusement,
pour d’autres, ce sera une résurgence, une occasion de rebondir vers une
occupation qu’ils aiment et qu’ils auraient déjà choisie s’ils n’avaient pas
été confinés dans la facilité… et donc l’habitude. Or, on le sait, l’habitude
nous tue ce que nous sommes vraiment.
En
le relisant, je constate que ce poème est différent des autres. Il est plus
hermétique. Mais, bon ! L’auteur fait ce qu’il veut. Du moment qu’il nous
met sur la voie d’une vie meilleure, j’adhère.
Comme
convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan
et Dina, dinadedan, Ecrire
Pastel, Tandem
Littéraire, Éric
Valloni, gravillons,
polarsensudalsace et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-le
pour vous, partagez !
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