Les statunisiens sont quand même les plus forts.
Pas partout, ne vous emballez pas !
Je vous explique. Hier soir, j’ai regardé un
film. En France, on appelle ça un navet tellement l’histoire est attendue,
ressassée et les acteurs moyens. Eh bien, ils ont réussi à me faire regarder le
film jusqu’au bout.
Pourquoi ? Parce qu’il y avait les
rebondissements à la bonne place. Dès que le film devenait plat… hop ! Un
rebondissement à l’histoire et je continuais à y croire à nouveau. Et c’était
comme ça jusqu’à la fin. C’est-à-dire qu’en une heure et demie, il y a eu 4
rebondissements et le coup de théâtre final. C’est fort. Et pour un navet,
c’est très fort.
En France, on appellerait une histoire comme ça
un téléfilm.
Alors, quelle différence entre un film et un
téléfilm ? Le film a été tourné avec de gros moyens. Le téléfilm n’ayant
qu’un petit budget est tourné sans courses poursuites, sans voitures qui
explosent, sans grands acteurs, sans … etc. Et parfois même, il est tourné avec
l’argent des acteurs et dans leurs appartements, avec leurs habits, etc.
En bref. Oui, j’ai aimé. Ce qui m’amène à dire
qu’ils sont doués pour le cinéma mais ne savent toujours pas écrire des livres.
Ou alors les traducteurs (trices) ne savent pas faire leur métier. Ou plutôt,
ils (elles) le font tellement bien qu’ils (elles) traduisent vraiment comme le
pensent les écrivais statunisiens, sans respecter les idées de l’esprit de
chaque pays, ce qui peut se comprendre. En France, ce qui est important, c’est
l’intrigue, aux States, c’est l’action. D’où les nombreux rebondissements.
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