Personnellement, je n’aime pas les journées de
ci ou de ça, surtout quand il y en a une qui fête le bouleau.
Pour moi, c’est une journée pour celui qui n’en
fout pas une toute l’année ; l’être
primitif, amateur d’érable de lapin
et autres viandes, adepte des il n’y acacia
masser, s’y regrouper comme des moutons. J’en tremble tellement cela mélèze
en porte à faux !
Mais, quand la journée de la forêt partage la
vedette avec la journée de la francophonie, je participe à la photo de charme tellement je me sens cyprès du naturel.
Certes, celui qui
s’en chêne après le bouleau en sort un peuplier mais, s’il frêne
ses propos, il saura traduire bien des maux !
Exemple : au lieu de dire elle est platane, il dira Anne s’est libérée d’écorce et autres dessous affligeants.
Noyer le poisson, houx dire au châtaignier, n’est pas la solution mais, jouer avec les mots est plaisant
et, quand je dis : " j’ai un abricotier ",
je me sens plus riche. Un peu comme si dans mon abri laurier. Et, chacun sait que
l’oranger est difficile à
retrouver ! D’ailleurs, c’est pêcher
que de chercher. Tu aurais du pin
sur la planche ; l’orme fuit
des mains.
Bref ! Forêt, français : une bonne devise.
Alors, oui, si tu as compris ce que tu lilas, je suis pour l’association de
ces deux journées. Fort et franc, c’est
bien.
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mes amis : avidoxe, dinadedan, EcrirePastel, Elsass-by-Nath, et VittorioDenim et, n’hésitez pas à le partager sur les
réseaux sociaux. Merci.
Ah, j'oubliais l'oiseau de la semaine !
Savez-vous que le corbeau a le bec noir alors que le merle a une couleur qui porte plutôt dans le jaune. Maintenant, cherchez dans les illustrations faites pour "Le Corbeau et le Renard" pour voir qui s'est renseigné avant de représenter un merle à la place du corbeau.
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