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samedi 27 juin 2015

VA VOIR LA-BAS SI J'Y SUIS ; MOI, JE RESTE ICI


Je me souviens des années ’70. Les jeunes allaient chercher le calme et la tranquillité à Katmandou. Ils achetaient un VAN et, avec des copains, partaient pour un long voyage jusqu’au Népal. Un peu comme pour « l’Alchimiste », l’important était de partir car, de toute façon, ils trouvaient ce qu’ils étaient allés chercher : eux. 

Aujourd’hui, les jeunes qui sont « mal dans leur peau » ne cherchent plus la paix et l’harmonie. Ils veulent s’éclater, faire du bruit, rouler des mécaniques, épater. Ils sont prêts à tout et deviennent des proies faciles pour ceux qui ne veulent pas être dans les premières lignes, là où on s’éclate sur une bombe, là où le bruit et la mécanique s’appelle « kalachnikov » et on n’épate que son copain qui, lui, ne veut pas montrer son dégoût et sa peur. 

Que s’est-il passé en 40 ans ? 

Il parait que, quand on met trop de rats dans un certain espace, ils se mangent entre eux.
Sommes-nous déjà trop sur cette terre ?
Pourtant, il y a de quoi tenir encore des milliers d’années. Il faut croire que le problème est ailleurs.

Qui tire les ficelles ? 
A qui profite le crime ?
Et puisque les choses ont tendance à se renouveler, que fera la jeunesse dans 40 ans ? 

En attendant, j’ai trouvé un endroit où règne la paix. Cela nous permettra d’attendre que ceux qui ont été instruits deviennent intelligents. 

Je me souviens, il y a 40 ans, le matin commençait avec des chants d'oiseaux. Ils nous réveillaient doucement et mélodiquement. Il y avait aussi des hirondelles pour le printemps, même dans les villes. 
Aujourd’hui, il y a surtout des pigeons. 
 

Comme pour l'Alchimiste de Paulo Coelho, nous avons tendance à chercher plus loin ce que nous avons sous les yeux. Le Parc  Schoppenwihr se situe au nord de Colmar. Ce n'est pas le bout du monde !


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