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dimanche 28 janvier 2018

Eurovision 2018 - chansons à (dé)boire



Je l’avoue, je n’ai pas regardé l’émission qui permettait, aux téléspectateurs, de choisir la chanson pour l’Eurovision.
Et j’ai eu tort car, j’aurais pu voter… une chanson. Puis, ce matin j’ai découvert le choix : « Mercy », miséricorde en anglais, c’est son titre. 

Déjà un titre ambigu : merci avec un « y » car c’est un prénom. Puis, l’histoire : celle d’une petite fille née en mars 2017 sur un bateau humanitaire en méditerranée. 

Ce n’est pas que cela me choque d’écrire une histoire sur la vie de quelqu’un qui n’a rien demandé… à part vivre… en paix. (Et donc, doit-on troubler sa paix et modifier son parcours ?) 

Je me souviens des paroles de l’excellente « Chanson Bleue » de François Béranger, 1970 – album « Une Ville », dont voici les premiers vers : 

Est-ce qu'on peut sans déchoir
Faire une chanson d'une histoire
À rendre fou ?
Faut-il chanter ou taire
Faut-il s'en foutre ou crier
Avec les loups ?

Je ne veux pas rentrer dans cette polémique et laisse aux auteurs, chanteurs et producteurs le poids de la responsabilité sur ce que peut engendrer, pour la fille grandissant, le fait d’être un titre de chanson ; être célèbre sans en récolter les profits. 

Mais, en l’écoutant, je me suis ennuyé. Et, ce n’est pas ce qu’on demande à la chanson et, encore moins, à l’Eurovision.   
Les chanteurs qui devraient nous distraire font un reportage et le reportage n’es pas intéressant puisque pas fait par un journaliste. 

Tiens, allez danser la-dessus ! 
Après tout, ça a marché avec "Marcia Baila" des Rita Mitsuko ou avec "Manureva" d'Alain Chamfort. C'est vrai qu'on n'avait pas compris les paroles. Mais, qui écoute aujourd'hui ? 

J'espère me tromper ; je suis persuadé que ça part d'un bon sentiment. 
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dimanche 21 janvier 2018

Le Jeu du "Fiche-moi la paix !"



A qui de vous, il n’est jamais arrivé de se faire « engueuler » juste parce que vous proposiez votre aide ? 
Eh oui, car des fois, heureusement pas à chaque fois, aider les gens est mal récompensé. 
Je m’explique. 

Une dame d’un certain âge porte un cabas lourd. Vous lui proposez de l’aider, poliment, la vouvoyant et avec un s’il vous plait.
Seulement, voilà, elle répond : « Je vous ai sonné, vous ? » quand elle est polie. Sinon, c’est : « Ch’t’ai pas sonné. », « Occupe-toi de ton … » ou une autre expression à vous faire regretter d’avoir encore un peu de savoir vivre, d’être différent ou d’une autre époque, sans doute. 

J’en déduis que les gens, qui pourtant ont visiblement besoin d’une aide, préfèrent qu’on ne les importune pas. Et, qu’ils se sentent assez grands pour savoir quand il faudra crier ‘au secours’ ! Plutôt s’enfoncer lentement que de dire : « S’il te plait, j’ai besoin de toi ; tu es quelqu’un d’utile ! » 
Juste que quand ils vont lancer ce S.O.S., ce sera peut-être trop tard, il n’y aura plus personne à l’écoute ou que plus personne n’aura envie de se faire à nouveau remballer ! 

Bref, au jeu du « fiche-moi la paix », tout le monde y est perdant.
Pendant ce temps, la robotisation gagne du terrain… la faute à qui ?  

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dimanche 14 janvier 2018

Avant l'invention de la télé



Personnellement, j’adore les bons mots, les citations et les anecdotes et, à ce propos, je viens d’en lire une excellente. 

Semble-t-il que, Madame Renée-Caroline-Victoire de Froullay de Tessé, 1714/1803, marquise de Créquy, alors qu’elle était mourante demanda son tricot à sa camériste. 
Naturellement, cette dernière fut étonnée et lui répondit qu’elle allait bientôt partir. 
Et, la Marquise rétorqua : « Ma fille, ce n’est pas une raison pour perdre son temps ! » 

Voilà une bonne recette contre le chômage. Évidemment, s’il y avait encore du boulot. 

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lundi 8 janvier 2018

Un zéro, c'est rien



Il parait que « zéro », le chiffre, est de valeur nulle. 

Bien. Alors, comment expliquez-vous que quand je le mets après le nombre et juste à gauche de la virgule, il multiplie le nombre initial par dix ? 

Il en est de même pour les gens. 

Exemple : un ‘clown blanc’, seul, ne fait pas rire. Si on y ajoute un ‘auguste’, c’est un duo à se plier en quatre. 
 Dans tous les domaines, d’ailleurs, il suffit d’ajouter un « faire-valoir » pour que le personnage, initialement insignifiant, devienne quelqu’un.  

Alors, jouons à un petit jeu : prenez n’importe quelle personne que vous connaissez et trouvez son faire valoir, cette personne sans laquelle il ne serait que 10% de ce qu’elle montre. 
Quand vous l’aurez fait autour de vous, élargissez le cercle, puis, encore plus jusqu’à arriver aux personnages les plus connus sur la planète. 

Le jeu peut se faire à plusieurs. Plus on est de fous, plus on rit ! (ou pas !)

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