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samedi 20 octobre 2018

Ecolo, moi ? Jamais !


Le samedi 13 octobre, c’était une journée « marche pour la planète » « marche pour le climat » et, dans ma petite mesure, j’y ai participé. Dans ma ville, il paraitrait que nous étions 3.000 personnes à marcher… donc à y croire. 

A paris, ils étaient 14 mille mais, la ville est beaucoup plus grande. Ce qui fait peu ! Mais, le pire, je l’ai entendu aux infos : au total, il n’y avait que 115 mille marcheurs pour tout le pays et là, c’est assurément presque rien. Je ne dirai même pas que c’est moins d'une goutte d’eau puisqu’une goutte d’eau peut faire déborder le vase et là… c’est minable. 

Comment ? Il se passe quelque chose pour que ton avenir soit moins pire et tu ne fais rien ?! Tu pourrais changer en mieux la vie de tes enfants et tu prends la voiture pour aller t’acheter des cigarettes au tabac du coin au lieu de participer ?! Je suis sidéré ! 

Mais, cela ne m’étonne pas. Je ne crois pas aux humains et il est normal que cette race de cons s’éteigne. Tiens, j’ai envie de dire « ces teignes » tellement il faudrait faire le tri pour séparer le peu de bon grain de l'ivraie. 

D’ailleurs, Yan Arthus-Bertrand l’a dit sur la chaine d’infos BFMtv : « On vit dans un déni collectif » et il a aussi dit dans le même reportage : «  500 milles personnes à l’enterrement de Johnny Halliday et 14 mille personnes à la marche pour le climat. Tout est dit. » 

Oui, tout est dit : nous sommes mal barrés. Mais, sache Humain : tu ne manqueras pas à la Terre ; elle s’en remettra mais, cette fois, sans toi. Je suis triste pour les animaux.  

Extrait du poème « Nuage » tiré du recueil « En Vers la Vie » de Vittorio DiMarco pages 69 et 70 :  

Et puis, dans dix mille ans,
La vie reviendra.
De couleurs, patiemment,
Elle se parera,
Mettra des oiseaux, 
haut dans les airs,
Plants, fleurs et cours d’eau 
entre les pierres.
La terre pardonne
Et tout repart mais sans les hommes ;
Tout continue sans toi.
La terre efface
Danger et menace
Et tout repart mais sans les hommes.
Tout continue sans toi.

A mon avis, ce poème est prémonitoire… à nous de le changer en simple avertissement. Je veux y croire ! Il le faut sinon, c’est fini. 

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina,  Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-vous plaisir, partagez !

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