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vendredi 23 novembre 2018

SuperMannala VS SuperFrick


Comme tous les ans, chez nous, en Régions Alsace-Lorraine, Saint Nicolas est fêté le 06 décembre mais, pour des raisons de praticité, celle année, il sera fêté le 1er décembre. Pourquoi ? Parce que c’est un samedi et que le jour qui suit, dimanche, les enfants ne vont pas à l’école. Donc, samedi prochain, vous aurez droit, avant le jour de la Saint-Nicolas, à un jour festif mais travaillé. (à méditer). 

Personnellement, je n’aime pas ce chamboulement. Pourquoi modifier un jour de fête ? 
Pour favoriser le commerce, évidemment. Comme Noël, la Saint-Valentin, le Black-Friday, etc.
Eh bien, je suis contre. Saint-Nicolas, c’est la fête des enfants, pas des magasins. 

Habituellement, en Alsace-Lorraine, cette fête est respectée mais, de nos jours, la région Alsace et la région Lorraine se sont « faites adhérer » par la méga-région « Grand’Est » ; mot qui ne signifie rien sinon que cet ensemble de territoires se trouve quelque part à l’Est de la France. Mais, attention, pas au Sud-Est sinon ce serait la région PACA ni au Nord-Est sinon ce serait en Allemagne. Non, elle est au milieu-Est. Et encore, pas tout à fait. 

Et je reviens au SuperMannala qui n’est pas content. Il avait pourtant envoyé le SupèreFouettard pour punir les anciens enfants qui ont laissé faire ce montage. Mais, il n’en est pas revenu. Revenu qui a été taxé… et taxé aussi, par ailleurs, de raciste juste parce qu’il était barbouillé de suie ! C’est pourtant normal pour un ramoneur car, je vous le rappelle : le SupèreFouettard est ramoneur ! Maintenant, il ne paie pas de mine, le pauvre ! Mines qui ont été fermés et qu’on a essayé d’enterrer avec des produits hautement polluants ! Merci la MégaRégion ! 

En bref ! Le SupeMannala viendra quand même quitte à mettre un gilet-jaune ! Les traditions ne doivent pas se perdre !  Le sort de nos enfants se joué sur la seule fête qui n’avait pas encore été récupérée par les financiers.

Je crains le pire pour les années à venir…

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina,  Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, gravillons et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-vous plaisir, partagez !

vendredi 16 novembre 2018

Presque tous dans le même bateau


En ce moment, tout le monde s’affaire. Tous bougent et s’activent, du simple ouvrier au plus gradé des dirigeants, à faire ceci ou cela. C’est incroyable les préoccupations que « nous » avons ! 

Que se passe-t-il dans notre pays ? Pourtant, on n’a jamais vu autant de chômage ! Il n’y a jamais eu autant d’inactifs ! Autant de personnes trop payés et autant de personnes sans le sou. 

Et si la solution était là ? Et si, au lieu de payer les gens à ne rien faire (chômeurs, exilés et autres assistés) on leur donnait tout simplement « un travail » ? Ils n’auraient plus le temps de faire la révolution. Et si au lieu de taxer ceux qui ont peu, on les aidait à avoir plus ? Le pays tout entier serait plus riche, irait mieux. Même les très-beaucoup riches iraient mieux ! Et seraient plus sympathiques. 

Mais, ce n’est pas facile pour l’armateur d’un bateau de réaliser que « nous » sommes tous sur le même bateau et que celui qui rame, quand il ne rame plus se met à réfléchir ! Ou s’il n’a pas assez à manger, fatigué, s’arrêtera naturellement de ramer.  Car, l’armateur, lui, il n’est pas dans le bateau. 

Par ailleurs, il me vient en mémoire une pensée de « Tristan Bernard » parlant de notre pays, la France : « Il est bien triste de voir autant de désœuvrement dans un pays aussi occupé ! »
J’ai comme l’impression que la gestion est précaire. Et, en tout cas, à repenser. 

- Sire, le peuple a faim.
- Eh bien, qu’il mange !
- Mais, Sire, il ne peut pas.
- Il n’a qu’à se forcer. 

Évidemment, c’est de l’humour sur l'incompréhension et le quiproquo, une « joke » des « Inconnus » mais, autrefois, le « bouffon du roi » avait le droit de dire la vérité. Et si c’était une vérité présente ?  

Comme convenu avec mes amis, voici leurs blogs : avidoxe, Dan et Dina,  Ecrire Pastel, Tandem Littéraire, Éric Valloni, et VittorioDenim ; sans oublier notre « Ateliers d’écritureS 68 ». Bonne lecture et, partagez. Faites-vous plaisir, partagez !

vendredi 9 novembre 2018

Taxer le temps libre


Mon collègue qui était en charge d’alimenter le blog AviDoxe de la semaine dernière (je vous rappelle que nous sommes quatre personnes à écrire à tour de rôle sur ce blog) a terminé son post en disant : « … le temps c’est de l’argent qui n’est pas taxé. » 
Je réponds donc à mon collègue car je ne suis pas d’accord. 

Ma réponse : « Le temps est taxé, mon temps libre est taxé. » 
Et je pourrai m’arrêter là car tout un chacun sait que chaque fois qu’il bouge, il paie. Et il paie des impôts dessus.  Mais je vais donner quelques exemples. 

Nous sommes dimanche donc un jour où je ne travaille pas. Je vais au restaurant pour midi. Ils n’acceptent pas mes tickets-repas. Je comprends, c’est un jour férié. Je mange, je paie et je m’en vais faire quelques pas pour digérer sur le parcours « vita » le plus proche mis à la disposition du citoyen par la mairie. 
Bien. Apparemment, jusque-là je n’ai payé que le repas et il y a une TVA dessus donc impôt ! Mais, ensuite, j’ai pris la voiture et je ne vous dis pas toutes les taxes qu’il y a dessus, de l’assurance à l’essence en passant par la voiture elle-même. Et le parcours « vita », vous pensez qu’il est gratuit ? Apparemment, oui puisque tout le monde peut y aller. Mais il a été fait avec les impôts de chaque habitant de la commune. Et pour l’entretenir, le salaire du personnel communal, il provient d’où ? 

Je suis pourtant dans « mon » « temps » libre. Donc, dès qu’on bouge on paie. Et si je ne bouge plus, je suis mort ! 

Bien, mettons que je ne bouge plus. 
On va me mettre dans un deux mètres carrés où il faudra payer le loyer sinon, j’irai à la fosse commune. Mais, je suis mort, je ne peux plus payer ! « Tes descendants ou collatéraux paieront pour toi, me dit une petite voix. »
Et, même là, il y aura des taxes et des impôts à prélever. C’est ainsi. 

Alors, je paie pour respirer de mon vivant et pour reposer une fois que « le temps » ne pourra plus se conjuguer avec « libre » ou « d’action ». Mais, l’impôt sera toujours présent. 

Conclusion : avant ou après, le temps est taxé. 

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vendredi 2 novembre 2018

Tout et son contraire


Nous sommes en train de vivre un retour de manivelle. Les gens, influencés par nos gouvernants, sont persuadés que tout ce qui se faisait jusqu’ici est mauvais et tout ce qui va le remplacer est bon ! 

Exemple : l’éolien.
Il parait que le vent est une énergie gratuite et propre. Il faut donc mettre des éoliennes partout pour ne plus polluer.
Alors, pour ce qui est du gratuit, une éolienne il faut la fabriquer et tout se paie. Il faut utiliser des éléments comme le métal, du plastique, des produits chimiques et même des produits rares et dangereux ; ce qui appauvrit la terre mais, surtout, des produits qui seront polluants avec le vieillissement de chaque éolienne. Que va-t-on en faire quand elle sera à l’arrêt ? Dans quel cimetière va-t-on l’enfouir pour la cacher aux yeux des citoyens-moutons ? 

Re-exemple : le solaire.
Lire ce que j’ai dit pour les éoliennes. Ce sera pareil pour les panneaux solaires.

Re-re-exemple : le diesel.
Il parait que ma Clio diesel pollue alors, il faut la remplacer par une autre voiture essence. Bien. Je passerai sur le fait que celui qui est venu me dire cela est venu en avion privé brûlant, en un aller-retour, plus de gasoil que je ne vais en utiliser pour les dix ans à venir avec ma petite Clio. Mais, je ferai la comparaison entre ma Clio diesel et une autre voiture essence, du même type autrement ce serait trop facile. Donc, pour faire 1400 km, je brûle 50 litres de gasoil. Pour faire la même distance, avec la voiture essence je brûlais 90 litres. Il est logique qu’avant j’utilisais presque 2 fois plus de ressources et que je polluais presque 2 fois plus ! Et il y en a qui croient qu’il faut remplacer le diesel par l’essence pour régler le problème de la pollution ! Même pas si on fait des camions, gros pollueurs, qui roulent à l’essence ! Même pas si on construit des avions, gros pollueurs, avec des moteurs à essence ! Etc.

Et, il y a d’autres exemples tout aussi farfelus. 

Moi, je dis : « A qui profite le crime ? »

Vous voulez réduire la pollution ? Voici un conseil simple : trouvez-vous un travail près de chez vous. Allez travailler à pieds. Vous ferez de la marche qui est bonne pour la santé et des économies car l’essence est chère dans nos pays. Mais, ce ne sera pas facile. Ou alors, nos dirigeants nous mettront des taxes sur les semelles pour compenser celles perdues sur les carburants ! 

Bon, allez, j’arrête de dire des conneries, de divaguer dans le vide, de voguer dans le vague. C’est flou ce que le temps passe et le temps c’est de l’argent qui n’est pas taxé. Ne leur donnons pas une idée supplémentaire… 

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