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dimanche 29 avril 2018

Les Etats-Unis d'Amérique se livrent en films


Les statunisiens sont quand même les plus forts. Pas partout, ne vous emballez pas ! 

Je vous explique. Hier soir, j’ai regardé un film. En France, on appelle ça un navet tellement l’histoire est attendue, ressassée et les acteurs moyens. Eh bien, ils ont réussi à me faire regarder le film jusqu’au bout. 

Pourquoi ? Parce qu’il y avait les rebondissements à la bonne place. Dès que le film devenait plat… hop ! Un rebondissement à l’histoire et je continuais à y croire à nouveau. Et c’était comme ça jusqu’à la fin. C’est-à-dire qu’en une heure et demie, il y a eu 4 rebondissements et le coup de théâtre final. C’est fort. Et pour un navet, c’est très fort. 

En France, on appellerait une histoire comme ça un téléfilm. 

Alors, quelle différence entre un film et un téléfilm ? Le film a été tourné avec de gros moyens. Le téléfilm n’ayant qu’un petit budget est tourné sans courses poursuites, sans voitures qui explosent, sans grands acteurs, sans … etc. Et parfois même, il est tourné avec l’argent des acteurs et dans leurs appartements, avec leurs habits, etc. 

En bref. Oui, j’ai aimé. Ce qui m’amène à dire qu’ils sont doués pour le cinéma mais ne savent toujours pas écrire des livres. Ou alors les traducteurs (trices) ne savent pas faire leur métier. Ou plutôt, ils (elles) le font tellement bien qu’ils (elles) traduisent vraiment comme le pensent les écrivais statunisiens, sans respecter les idées de l’esprit de chaque pays, ce qui peut se comprendre. En France, ce qui est important, c’est l’intrigue, aux States, c’est l’action. D’où les nombreux rebondissements. 

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dimanche 22 avril 2018

Etre au nœud pap, être est la question


J’étais de mariage samedi et j’ai dû m’habiller « beau » ! Oh, bien sûr, l’intérieur, c’était moi et, comme pour les autres, l’enveloppe c’était : signe extérieur de richesse. 
C’était à qui peut paraitre le plus beau. C’était la course à une amélioration du personnage. C’était un mariage, quoi ! 

Or, ce n’était pas mon mariage et, je n’ai pas mis de nœud papillon ni même de cravate. Je sais, c’est piteux ! Mais, apparemment, ce n’était pas non plus le mariage de certains… qui, à mon humble avis, ont un tantinet exagéré dans « l’indumentis vulgi » ou « laisser-aller » ! 

Avez-vous remarqué les aises de certains lors des mariages d’aujourd’hui ? On se demande si ce sont des amis qui viennent pour contribuer à un beau jour ou des vandales payés par les « cassos-anonymes » qui viennent pour saboter ce jour mémorable ! 

Or, ce samedi, il a fait très chaud pour un 21 avril : 28 degrés. Les « cassos » s’en sont donné à cœur-joie. Il y en a même eu un qui est venu en pantacourt et le nombre de basquets, je n’en parle pas. Il y a des basquets qui font « habillé » ! 

Et puis, moi-même, j’ai enlevé la cravate ! Je sais, c’est la honte mais, le niveau vestimentaire était bas et, il faisait chaud. J’ai des excuses. De toute façon, même quand je me suis mis en ‘bras-de-chemise’, que j’ai remonté mes manches alors que j’étais invité, je faisais bien habillé ! 

Alioquin Caeteris, O Tempora, O Mores ! Les temps ont changé. Et, s’adapter, c’est participer à la chute de la décence. 

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dimanche 15 avril 2018

Quand le soleil se lèvera


A toi qui lis cette phrase, qui t’attends à un poème, une allégorie, une envolée, je suis désolé de te décevoir ; cette phrase est négative ! 

Quand le soleil le lèvera signifie qu’actuellement, il n’est pas là. 

Je l’attends et j’espère… Et, qui d’espoirs vit, désespéré meurt ! En même temps, sans espoirs, on ne vit pas. Conclusion : on est bien em… bêtés ! 

Quand le soleil se lèvera signifie que, maintenant, il fait nuit ou, du moins, il fait gris, il pleut… 

En y repensant, nous avons aussi besoin d’eau. Ce n’est donc pas si mal si on est dans l’attente du soleil. 
La pluie, à petites doses, ce n’est pas si mal. La nature se réveille car mêmes les plantes ont besoin d’eau. Et, trop de soleil assèche tout, brûle tout… ne soyons donc pas trop pressés de voir venir le soleil. Il vit plus de gens en Suisse qu’au Sahara ; il y a surement une raison ! 

Quand le soleil se lèvera, il fera jour. On pourra voir que chaque médaille a son revers. On pourra se rendre compte qu’on a besoin de la nuit et du soleil, de l’ombre et de la lumière, du soleil et de la pluie, etc. 

Vivez heureux, tout va bien dans la nature. Ce sont les faits des humains qu’il faut craindre… 

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dimanche 8 avril 2018

Un jour, le monde tournait rond


Voyons, comment vous le dire ! 

Sachant que l’univers est courbe, le temps est mou et que le cosmos a tendance à se dilater, notre temps mécanisé devra s’adapter à la durée naturelle. D’ailleurs, les scientifiques font déjà des petites retouches ajoutant l’ jour de l’année bissextile et… des rectifications sur l’horloge astronomique. 

J’en déduis donc que bientôt, les journées seront plus longues et nous aurons plus de temps pour travailler. 
Sauf que : il n’y a pas de travail puisqu’il est fait par les robots. 
Qu’allons-nous faire, alors, de ce temps en plus ? 

Une autre constatation : puisque le temps augmente, ça veut dire qu’à sa création il était prévu pour 360 jours pile ! Qui se divise bien par 12 mois de 30 jours.
C’était le cercle parfait. 
Alors, qu’est-il arrivé pour qu’il se mette à grossir ? Il s’ennuyait et a ouvert le frigo-ère-glaciaire bourrée d’oligo-éléments ?  

C’est tout. Une idée qui m’est venue, comme ça. 

Si vous avez les informations meilleures et plus fiables, vous pouvez me les communiquer sur ce blog. Merci. 

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dimanche 1 avril 2018

Faites la fête sans en abuser


Le problème avec les fêtes, c’est qu’on passe son temps à manger ! Et c’est quand même incroyable de dire ça quand on sait qu’il y a des gens, des humains, qui vivent sous le seuil de la pauvreté. 

Oui, je culpabilise car si pour nous manger c’est la fête, eux, ils n’ont qu’une idée en tête : le fait de manger. Mais ils n’ont pas de quoi ! Ils n’ont pas de quoi manger, de quoi acheter à manger et, de toute façon, certains, n’ont même pas où manger. 

Je sais, même de leur donner mon logement, ça ne sauverait personne et, en plus, ça me mettrait dans les rangs des S.D.F. ; ce n’est donc pas la bonne solution. 

D’un autre côté, quand on voit ce que gagnent les quelques privilégiés, on se dit que si on leur diminuait leurs gains de seulement 10% pour les donner aux pauvres, les très beaucoup riches ne s’apercevraient même pas de leur manque, tellement ils sont opulents, et il n’y aurait plus de pauvres du tout ! 

Alors, je me demande : « Qui empêche ce transfert ? » 

Bon ! Aujourd’hui, Lundi de Pâques, c’est la Petite Pâque et on a acheté d’autres victuailles car on devra encore se sacrifier à manger pour que les très beaucoup riches soient encore plus riche pour qu’ils puissent avoir le privilège de donner au vrais très pauvres… 

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