Chanteur ; Enchanteur !

De tous temps il y a eu des enfants qui chantaient poussés, bien souvent, par les adultes. 

J’avoue que c’est agréable entendre une jolie voix non abimée par les cigarettes ou l’alcool mais, des fois, je dis : « Attention, danger ! » 

On se souvient de Joselito, Melody, Roméo, fanny, Jordy, Ilona, Elsa, etc. 

Encore aujourd’hui, je me demande si, eux et ceux que je n’ai pas nommés, chantaient  parce qu’ils avaient envie de faire carrière ou parce que leurs parents voulaient chanter à travers eux.

D’ailleurs, lors d’un reportage, Josélito a expliqué sa sortie ainsi : «  Ce fut un vrai traumatisme. Pour moi, c’était quelque chose de naturel, de bénéfique même ; je pouvais enfin me reposer. Mais, pour mon entourage, ce fut une épreuve telle que cela me rendit la vie impossible. » (France Dimanche – août 2014) 

Et, pour les autres, ce n’est pas mieux. Ils ont un peu d’argent devant eux ? L’argent s’en va vite ! Par contre, il leur manquera toujours leur partie d’enfance qu’ils ont passée à travailler pour les autres. Le temps perdu ne se rattrape guère. 

Alors, est-ce vraiment leur rendre service d’acheter leur C.D. ? Je ne sais pas. Chacun ses responsabilités. Après-tout, il y a des enfants qui sont restés dans le métier : Vanessa Paradis, Justin Bieber, Miley Cyrus, Céline Dion, Patricia Kaas, etc.

Quant à Michael Jackson, c’est un cas à part : il est resté enfant jusqu’au bout. 

Quoi qu’il en soit, chanter à ses enfants est une bonne chose. Chanter est bénéfique.

D’ailleurs, savez-vous que certains oiseaux chantent à leurs petits qui sont encore dans l’œuf pour les préparer à la vie quand la température dépasse les 26 degrés ? 

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Etre en Etat de Confusion Pécuniaire

Tout d’abord, une vieille histoire du temps de Rome.

Il parait que, vers l’an 40, pour raison d’état, l’empereur Vespasien avait besoin, pour des tas de raison, de renflouer les caisses de l’état laissées, dans l’état, en piteux état par son prédécesseur Néron (souvent en état de démence). Alors, il mit en place une série d’impôts dont celui sur les pissotières publiques qu’on appelle aussi « vespasiennes ». 

Critiqué par son fils, il aurait répondu : « pecunia non olet » c’est-à-dire « l’argent n’a pas d’odeur ». 

Ensuite, voici une deuxième histoire, contemporaine, celle-là. 

Les végétaliens, les végétariens, les Hindous, les Sikhs, etc. ont réclamé, la semaine dernière, à la Banque Centrale d’Angleterre afin qu’elle arrête d’utiliser de la graisse animale pour la fabrication des billets de 5 et 10 Livres et pour qu’elle retire de la circulation les billets déjà émis.  Ils n’en sont pas à leur première pétition. 

Alors, je me demande…

Si on donnait une somme conséquente mais payée avec ces mêmes billets, combien ‘d’anti-viande’ refuseraient ?

Je pense qu’on pourrait les compter sur les doigts de la main quitte à être au bout de l’index de la ligue des ‘doigts’ de l’Homme. Chacun a besoin d’un coup de pouce pour vivre, même s’ils sont majeurs. Et, on constaterait que, deux mille ans plus tard, l’argent n’a toujours pas d’odeur ! 

D’ailleurs, de nos jours, en plus, il empêche d’avoir du tact !   

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PS : L'oiseau de la semaine est encore le "Pigeon" voyageur. Lors de la première guerre mondiale, appelée aussi la Grande Guerre,  on utilisa le pigeon voyageur pour faire des photos de sites litigieux. On pourrait dire que le pigeon est l’ancêtre du drone. 
On n'invente rien ; on modifie. 

Ni Métaux, ni Mie mais des Images Innées

J’avais allumé la télévision et étais tranquillement à la regarder d’une oreille distraite quand une phrase m’interpela.

C’était une de ces expressions qui, sorties de leur contexte ne signifient pas grand-chose mais, qu’on retient malgré-nous et que tout un chacun utilise quand l’occasion s’y prête. 

Or, cette fois-ci, cette formule avait été  mal employée puisque l’émission parlait de cuisine.

Une dame préparait un plat, suggéré par une autre personne à travers une oreillette, et parlait d’un cuisinier de renom mais, au lieu de dire « c’est un fin cordon bleu », elle avait dit « c’est une fine lame ». 

Pour ma part, je pensai que cette dame avait eu raison de se tromper car elle avait éveillé mon esprit qui, malgré son stress et celui de son adversaire, commençait à relâcher l’attention. Toutefois, je suivais quand même l’émission puisque j’invectivai : « Elle a perdu la tête ! » Mais, la dame n’entendait pas mon point de vue et continuait sa préparation en exagérant de tout, au grand désespoir de son conseiller. Et, là encore, je criai : « Mais, pour manger une assiette aussi épicée, il faut boire une bouteille entière ! » Puis, subitement, je m’aperçus que je m’étais emporté. 

J’éteignis la télévision par asthénie et, comme j’ai un toit, j’abusai du fauteuil pour dévorer un bon livre.  Mon livre parlait d'une foule qui scandait en liesse des « vas-y Roby» et d’un stade qui criait, debout, des « bravos » sans doute bien mérités. En plus, l’aile gauche faisait la « ola », la vague de bras levés. 

Je trouvai que ce récit avait du cœur. Et, enfin ! Je montrai un nouveau visage. 

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Définition de Métonymie : la Métonymie est un procédé par lequel on exprime l’effet par la cause, le contenu par le contenant, le tout par la partie, etc. (Petit Larousse) (Si vous voulez des exemples, relisez le texte.)

Définition d’Asthénie : l’Asténie désigne surtout un manque de force par défaut de commande nerveuse ou psychique. (Petit Larousse)

PS : Pourquoi le vautour n'a pas de plume sur le cou et la tête ? (Non, pas alouette !) C'est parce qu'il iltroduit la tête dans les cadavres d'animaux morts pour manger et les plumes s'imbiberaient de tout ; ce qui ne serait pas pratique. 

Loup Ange et Mes Prises

Il y a six ans, on encensait un drôle d'oiseau et lui déroulant un tapis de louanges. Un an plus tard, ceux-là même qui le portaient aux nues se rétractaient et évitaient de se montrer à ses côtés ou sur la même branche.

Cinq ans plus tard, c’est-à-dire de nos jours, les mêmes volatiles d’alors, se sont mis à adorer un des leurs, tant et si bien, qu’on aurait pu croire  que la colombe parfaite, dont la blancheur candide aurait pu éclairer le vécu de tout un chacun, était trouvée. 

Que nenni ! 

En quelques mois, la colombe est redevenue un oiseau comme les autres. Et, ceux qui se préparaient à prendre un envol avec lui se sont aperçus qu’ils avaient du plomb dans l’aile.  

Mais, que se passe-t-il ? 

Nous le savons, l’aigle, le faucon, la buse et, même le vautour, mangent les autres oiseaux ! Faut-il se tourner vers le loup pour acquérir la sécurité tels les moutons qui acceptent le chien ? Devons-nous croire qu’il n’y a plus un seul bon berger pour nous mener aux pâtures des vertes vallées ? Devons-nous penser que l’oiseau n’est plus un symbole de liberté ? Où est le sauveur ?

Ce n’est pas l’aigle ; il a pris les couleurs du cacatoès et apprend à danser, la grande folle ! Et, comme ce n’est pas l’ours non plus ; isolé dans le désert, si rien   n’est fait, il va y rester.

Et moi, pauvre petit moineau, j’appréhende l’avenir puisque des oiseaux communs, apparemment doués d’une probité à toute épreuve, comme vous ou moi, se retrouvent éclaboussés par les mêmes taches qu’ils dénonçaient. 

C’est à raison que je me méfie de tout le monde.   

D’ailleurs, si je lève les yeux,  je vois tourner, au-dessus de nos têtes, et les gypaètes barbus et les corbeaux. C’est pas bon cygne ! 

Heureusement que mes amis écrivains me remontent le moral !

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