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mercredi 24 décembre 2014

SI TU CRECHES PRES DE L'ETANG, CE N'EST PAS UN CAS D'EAU.



Que se passe-t-il à Eurowood l’hiver ? Les volatiles migrent-ils vers les pays chauds ? 
Non, pas tous. Certains restent pour embêter les autres habitants de leur clairière, de leur bois, de leur contrée.
Cette année, 2 oiseaux de mauvais augure ont essayé de faire interdire les crèches de Noël dans toute la clairière Prance (là où habitent les farisiens et autres variétés d’oiseaux habitués au froid et à la pollution). 

Au début, les faucons et les éperviers ont un peu hésité à faire ce que voulaient les 2 loustics aux ailes cendrées.
Il y a eu des contestations dans les journaux. Sur internet, j’ai lu des messages. Même la télé en a parlé. Fallait-il que ce soit important ! 

Personnellement, je n’ai jamais trouvé cela important ; il n’est pas nécessaire d’avoir une représentation physique pour pouvoir fêter un évènement. Il faut dire aussi que je suis comme tous les autres oiseaux de la clairière Prance (ou d’ailleurs) : ‘le dieu commerce’ m’a changé. A Noël je veux faire plaisir. (Ou ON m’incite ?) Alors,  j’achète pour les petits moineaux, j’achète pour ma famille, j’achète pour ceux que j’aime, j’achète, j’achète…
En fait, j’avais oublié l’importance d’une crèche à Noël ! 

C’est en recevant un message sur un de ces organismes sociaux (car nous aussi sommes connectés, que croyez-vous ?) que je me suis rappelé l’importance de la crèche. Ce message disait « …la religion, pour la crèche, n’est que secondaire. La crèche est avant tout le symbole de la famille : le papa, la maman, l’animal de compagnie, les amis et connaissances et même ceux que nous ne connaissons pas mais qui veulent fêter la naissance. La naissance, voilà le véritable élément important de la crèche. La naissance, la seule chose qui relie les oiseaux, les humains, les végétaux, etc. ; tout ce qui vit sur terre (et, sans doute, ailleurs).

Ainsi, cette histoire est passée devant les tribunaux.
Heureusement, l’aigle a tranché : la crèche peut rester !
Eurowood a retrouvé son calme et la vie continue, comme avant, sous les piaillement, gazouillis et autres chants de ses habitants à plumes.  

En définitive, ces 2 oiseaux, aux ailes cendrées, ont raté leur coup mais ils ont réussi à renforcer le lien qui relie les participants à la crèche pour Noël. 

D’ailleurs, en parcourant le net, j’ai même vu une photo avec 3 crèches. Étonnant, non ? Charbonnier est maître chez soi, dit le proverbe et chacun fait ce qu’il veut chez lui. En revanche, je crois que le nid de ces 2 oiseaux de mauvais augure doit être bien vide, et triste. Ils auraient mieux fait de migrer pour les pays chauds ; à Doubaicasse, se boire une tasse d'un bon café arabica, par exemple !

samedi 13 décembre 2014

PARTOUT LA TABLE EST PRETE ET L'ON ENTEND CETTE CHANSON...



C’est le soir de Noël. Les paroissiens se rendent à la messe de minuit. Il y a là, toutes les catégories de gens. Certains se connaissent. D'autres, qui habituellement se boudent, ce soir se côtoient. Le riche et le pauvre sont réunis. C’est la force de Noël : réunir en paix et partager tel le point d’eau où viennent s’abreuver, et le gnou, et le lion, et l’aigle, et le moineau, en parfaite paix.
Dans cette histoire, il y a un couple avec ses enfants, habillés pour l’occasion et une dame fagotée contre le froid. Ils sont là, ils prient. Ils chantent les mêmes chansons, les mêmes mots. « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, … »
Ils sont ensemble. Ils chantent ensemble.

Après le Notre Père, ils se serrent la main en signe de paix. Ils se sourient, le regard aimable, et ils le pensent vraiment. C’est la force de Noël. Ceux qui n’y ont jamais participé, ne peuvent pas connaitre. 

Puis, vient la fin de la messe. « Allez en paix. » Et ils vont en paix, sortant en silence, encore recueillis, les chants plein la tête. « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, qui s’en va sifflant, soufflant, dans les grands sapins verts… »
Le riche retourne chez lui. La pauvre dame retourne chez elle. C’est la magie de Noël : rassembler sous le même toit des personnes en tant qu’humains.

Le riche, pousse du pied un oiseau qui grelote et prend la voiture avec sa famille. Il se rend à sa villa où il pourra se réchauffer. Cette nuit, la Bonne lui a préparé une soupe chaude. Ensuite, la famille ouvrira les cadeaux. Ils mettront un CD avec des chants de Noël. « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, qui s’en va sifflant, soufflant, dans les grands sapins verts. Oh ! Vive le temps, vive le temps, vive le temps d’hiver… »
La pauvre dame aussi, s’en retourne chez elle, car elle a la chance d’avoir un abri. Elle se dépêche ; il fait froid et ses chaussures prennent l’humidité. Arrivée, elle pousse la planche qui lui sert de porte et s’introduit dans son squat. Elle remet la planche pour arrêter un peu le vent et dissuader les loups puis, va s’allonger sous des cartons, sans manger.

Dehors, il s’est arrêté de neiger car le vent s’est mis à souffler. La nuit va être froide, la température va descendre. Sous ses cartons qui laissent passer l’air glacé, la dame est à moitié endormie, à moitié engourdie. Là, Elle pense à ses petits-enfants qu’elle pouvait gâter… quand elle avait du travail. Depuis, elle n’a plus reçu de nouvelles d’eux. Ils ne sont plus venus. Ils ont « surement » téléphoné mais elle n’a plus de téléphone… Elle n’a pas revus ses petits-enfants depuis longtemps… Entre rêve et torpeur, la chanson qu'elle leur chantait lui revient : « Vive le vent, vive le vent, vive le vent d’hiver, qui s’en va sifflant, soufflant, dans les grands sapins verts. Oh ! Vive le temps, vive le temps, vive le temps d’hiver, boule de neige et jour de l’an et bonne année grand-mère… »

PS : Une fois mon histoire terminée, je suis allé sur internet. Je voulais pêcher une idée pour un dessin, afin d'illustrer mon récit. L'image, à gauche, n'est pas un de mes dessins. Je l'ai prise sur internet et l'ai laissée telle que je l'ai vue dans un blog. Par ailleurs, le post du blog est titré : "Vive le Vent d'Hiver" et parle de " La belle magie de Noël quand il est recouvert de neige, un vrai plaisir." Donc, j'ai changé mon titre, qui était le même, mais j'ai gardé le contenu car l'histoire n'est pas la même. 
Voir "Lamouche (scénariste) et Ducoche (dessinateur : Frédéric) ; les gars, si vous ne voulez pas me prêter l'image, dites-le moi, je l'enlève. 

Voilà, tout ça pour dire que, le téléphone c'est bien mais ce n'est qu'un objet, une machine sans âme qui ne dira jamais la détresse d'un être humain. Pensez à aller voir, à embrasser ou à serrer la main à cette personne qui vous aime mais, pour une certaine raison, ne peut pas vous le dire.

JOYEUX NOËL 2014 et BONNE ANNÉE 2015 à tous.   



  

samedi 6 décembre 2014

LES AVENTURES BOULANGERES DE SUPER-MANALA au 06/12/14

Le revoici. Il est de retour. Comme tous les ans, Super-Manala fait sa tournée.

Les français de l'intérieur ne peuvent pas comprendre. Notre Super Héros est un héros local.
Marvel n'a même pas encore réussi à l'imaginer dans ses américaneries qu'ils nous envoient régulièrement pour essayer de nous faire rêver à "leur" façon. Pourtant, ils sont forts chez Marvel ou DC Comics ! Ils ont Cap'tain América, eux !

Mais Super-Manala s'en moque bien, il doit faire sa tournée pour les petits enfants et il la fait !

En un tour de main, il récompense les gentils et sermonne, un peu, les turbulents. Même les 'zompolitiks' sont de la fête. Certains reçoivent des mandarines et d'autres le bâillon rouge-et-blanc. C'est parce qu'ils n'ont pas fait leur travail avant. Mais, en général, il ne s'occupe que des enfants, Super-Manala.

Il faut dire que Super-Manala est un envoyé du Grand Saint Nicolas.

Or, Saint Nicolas est le Saint protecteur de la Lorraine. Pourtant, c'est en Alsace qu'il aime le plus récompenser les enfants sages et travailleurs.
En ce moment, Saint Nicolas n'est pas très content car les 2 sœurs se sont un  peu chamaillées. Elles étaient pourtant unies jusqu'à il n'y a pas si longtemps. Il se dit que ça reviendra. Il aime les deux. Il est comme ça, Saint Nicolas.

Cette année, Saint Nicolas n'a pas pu venir avec le Père Fouettard à cause de certaines plaintes... et, pour respecter la parité, il a embauché une dame à la place. (Elle devrait donner des gifles à la place de coup de pieds-au-cul et devrait "gueuler" plus aigu sinon, c'est pareil que le Père Fouettard ; ça n'est que pour les enfants... méchants... et elle n'en fait rien.)

Alors, en ce 06 décembre, accueillons Super-Manala avec un bon tour de Valse et Bonne Fête à tous les enfants.

Et, pour l'oiseau de la semaine, sachez que si l'oiseau peut voler c'est aussi parce que ses os sont creux. (comme certains discours)
Par contre, Super-Manala ne vole pas, il est plein et "nourrit son homme", et 'ça n'est pas que pour les enfants !"

samedi 29 novembre 2014

DANS L'OCEAN, LE GRAND POISSON MANGE LE PETIT POISSON.

Nous naissons libres et égaux ; c'est ce que dit la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen de 1789. En général, c'est comme cela que devraient se passer tous nos échanges ou rapprochements entre Humains.
Malheureusement, la frontière est mince entre les Hommes (avec un grand H ; comme dit Carmen : 50% des Hommes sont des femmes.) et, surtout entre ceux qui commandent et ceux qui font, tous ceux qui ont un pouvoir et ceux qui subissent ce pouvoir, ceux qui viennent avec des solutions et ceux qui finissent par se poser des questions, etc. 

En fait, oui, nous naissons libres et égaux... "dans notre pays" mais, c'est après que cela se complique.
Déjà parce que La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui et que, dès l'adolescence, on aimerait bien pouvoir s'affirmer. Plus tard, parce que les idées qu'on nous propose ne correspondent pas à celles que l'on se fait, pour le bien de tous. 
Alors là, on nous dit qu'il y a le droit de vote. 
OK, nous sommes 60 millions en France ; combien de personnes ont le pouvoir de se présenter ? Habituellement, si tu ne peux pas payer ta campagne électorale, tu ne peux pas te présenter. Alors, tu vote celui qui se rapproche le plus de ce que tu crois bon. 

En bout de course, après avoir éliminé ceux qui ne te sont pas représentatifs, il te reste celui qui se rapproche le plus de ton idéal, c'est à dire 40% de ce que tu crois être bon. Et là, ce son les promesses avant les élections. Si tout va bien, la moitié sera appliquée. 
En conclusion, si tu vote un candidat dont tu n'est pas d'accord à 80% et qui tient et applique les 20% qu'il a promis ; un candidat vaut l'autre. 

D'ailleurs, je ne vois même pas pourquoi je vous dis cela ; ce n'est pas le temps des élections !

Peut-être parce que c'est la saison où les oiseaux migrent vers les pays chauds ; j'en ai vu passer une nuée l'autre matin. Ou alors parce que les alsaciens et les champenois vont se mélanger en Lorraine... alors qu'aucune des trois entités n'est d'accord ! Je ne sais pas. 

Comme dit Carmen : "Peut-être que je ne sais pas tout !" 
Et elle a raison ! Mais alors, pourquoi On ne nous le dit pas ? 

Bon, pour revenir aux oiseaux. Savez-vous que les oiseaux ne sont pas tous égaux ? 

Eh non ! Il y en a qui volent, d'autres pas, comme les kiwis. Il y en a qui marchent comme les corbeaux, d'autres courent comme les autruches. Certains mangent de la viande comme les aigles, d'autres du poisson comme le martin-pêcheur.  etc.

Même les oiseaux ne sont pas égaux ! Moi qui voulais écrire un beau texte, les bras m'en tombent. 
Pour les oiseaux, c'est de la faute au vol. 
Mais, pour les poissons ? ...

 

PS : Ceci dit, je joins une vidéo de Dan&Dina. Elle fait moins de 1 minute. De l'humour en moins de 1 minute ? Si, si, c'est possible. En tout cas, c'est nouveau et ça montre que, donner un coup de pouce aux copains, c'est bien, c'est utile et positif. 

jeudi 30 octobre 2014

LA CRISE EN THEME & LES SAISONS

C'est la Saint Chrysanthème et, chaque année, à la même saison, il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville (comme disait Verlaine). 
Je pleure car les feuilles tombent. 

Je parle des feuilles d'impôt, bien sûr ; les autres reviendront pour une nouvelle saison et ne me peinent que quand je pense aux sans abris qui sont de plus en plus nombreux et devront passer l'hiver, froid, long, dehors et en marge de la société.  

Alors, je me dis : "Grâce à ces feuilles d'impôt qui tombent, les pauvres vont recevoir une couverture."  Mais, je m'aperçois que le nombre de pauvres augmente d'année en année. Dois-je en déduire que les impôts appauvrissent ceux qui les paient ? Et, où va l'argent des impôts ? Que peut-on faire ? Et, comme dit Carmen : "Peut-être que je ne sais pas tout !" 

Je ne sais pas tout. Si, si, ça c'est sûr ! Si ça c'est su, c'est certain.
Mais, je constate que dès qu'approche la Saint Chrysanthème, les feuilles tombent, les montants augmentent, les pôôôvres aussi, et, à la télé, on nous envoie des boniments du genre "c'est la crise" ou "nous allons faire..." 
... mais, arrêtez donc de faire, qu'on puisse souffler un peu ! 
Vous croyez que c'est facile, pour nous qui avons un petit revenu qui n'augmente pas alors que les charges augmentent, le coût de la vie augmente, les impôts augmentent, etc?... Même les riches augmentent la valeur de leur patrimoine !
Et puis, d'abord, pourquoi les riches deviennent de plus en plus riches alors que les faibles revenus deviennent de plus en plus des sans abris ? 

Cette année, j'ai pu acheter un pot de fleurs dans une grande surface qui faisait des promotions. Je demande pardon au boutiquier fleuriste mais, il ne me restait pas assez pour finir le mois. 
Je le sais, quoi que mon achat ait été modeste, j'ai enrichi le grand capital et le fleuriste finira par fermer boutique. 
Ainsi est la vie de la société qui nous est imposée où nous n'avons plus de choix ; si je n'avais pas acheté dans la grande surface, je n'aurais pas eu assez pour acheter chez le fleuriste et il devra fermer quand même. 

Comme oiseau, je vous propose le colibri ou plutôt "La part du colibri" de Monsieur Pierre Rabhi.
en image, une partie des pages 1&4 de couverture.
Choisis ta fin, camarade.

PS : Je me suis dit que, pour éviter d'enrichir les riches, la solution était de ne pas acheter de fleurs du tout.
Mais, si la grande surface ferme, ma sœur qui y est "pauvre-caissière-petit-revenu", perdra son emploi et rejoindra le nombre des "pauvre-sans-revenu-du-tout".
Nous n'avons vraiment plus de choix !

jeudi 23 octobre 2014

LE JEU, QUAND TU AS LA MAIN, FAIS GAFFE A TES DOIT.

Longtemps, je me suis demandé pourquoi j'ai arrêté de jouer à la roulette. Parfois, je passais à côté du casino de La Grande Motte, mes yeux se fermaient si vite que je me disais : "C'est le soleil." Mais le soleil était derrière moi. Au bout d'un certain temps j'en ai déduit que c'était par peur du jeu. Bien sûr, je le savais mais, je me mentais. J'ai toujours aimé jouer à la roulette et le jour où j'ai arrêté, c'était volontaire mais, ... longtemps je me suis demandé pourquoi j'ai arrêté de jouer à la roulette. etc... (reprendre au début !) 

J'ai repris du début mais, au bout d'un certain temps, à force de tourner en rond, j'ai commencé à compter. Pour m'en sortir, j'ai cherché la martingale. Et c'est là que j'ai compris : quand on tombe dans ce jeu, on rejoue. On tourne, on calcule, on mise, on perd et on recommence car on est possédé.
Possédé, voilà, le mot était lâché et je le prouve. 

Pendant que je tournai en rond, que j'ai failli perdre la boule, les chiffres me sont venus. Le 0, le1, le 2, le 3, le 4, et ainsi de suite, jusqu'au 36. Je les ai additionnés tous et le total m'a éclairé tant il était, il est, brûlant : 666. Vous pouvez vérifier. 

Ce jour-là, j'ai compris pourquoi j'ai arrêté de jouer à la roulette: j'en avais marre de tourner en rond, tout simplement. 
D'ailleurs, si vous additionnez les 3 six, vous obtenez 18, donc 1+8 ce qui donne 9 et, 9 dans "la règle de trois" est égal à zéro, nakache, walou, niba, nada, rien. Alors, pourquoi jouer ? Pour s'entendre dire que rien ne va plus ? 


Bon, l'oiseau de la semaine sera le hibou

C'est le seul oiseau qui peur tourner sa boule de 360 degrés. 
Il peut regarder derrière lui sans bouger son corps et sans tourner de l’œil.
Dans certains pays, on dit que le hibou porte chance. 

Je devrais peut-être essayer un jeu de grattage...



dimanche 19 octobre 2014

LA FIN D'UNE SAISON EN COMMENCE UNE AUTRE

L'été est fini. 

Nous avons eu un week end ensoleillé et nous avons pu sortir encore un peu. Ce qui m'a permis de voir que les corbeaux sont nombreux dans les champs. Ils se préparent à accueillir l'hiver et pourtant, nous en sommes encore au milieu de l'automne.

Tout s'en va, tout se meurt et même mon écrit sent les feuilles qui "rouillissent" et qui tombent. Nous sommes en octobre, quoi ! 

Octobre, pour moi, c'est Christophe Colomb qui arrive, pour lui, aux Indes. Il est parti d'Espagne le 03 août 1492 et pose le pied sur le nouveau monde le 12 octobre 1492.
Il a mis 2 mois et 10 jours environ pour faire ce que nous faisons aujourd'hui en 14 heures.

C'est vrai qu'il ne savait pas vraiment où aller, quel chemin prendre, ni même les courants marins qui permettent d'aller plus vite. Alors, 69 jours pour aller presque tout droit sur environ 5000 km, ce n'est pas si mal. Mais, que dirait-il s'il savait que Loïck Peyron, en 2012, à mis 45 jour et 14 heures pour faire le tour du monde, soit environ 40.000 km ? Rien. Le bateau n'est pas le même, les instruments de navigation ne sont pas les même, etc. Rien n'est comparable. Plus de poésie, que des machines électroniques !

Tout change, je l'ai dit plus haut, tout s'en va. 

En même temps, est-ce que Loïck Peyron aurait fait le tour du monde si Christophe Colomb n'avait pas pris le risque d'aller voir ce qu'il y a derrière ? 
Eh oui, il a ouvert une route. Des routes ! C'est comme ça la vie, il suffit que quelqu'un commence et les autres suivent. 

J'en reviens à mes corbeaux de tout à l'heure. S'ils s'agglutinent plus tôt, peut-être que, cette année,  l'hiver va venir plus tôt. Il va neiger sur tomorrow !

mercredi 15 octobre 2014

OISEAU D'EAU ou TONNEAU VOLE

Dans la série des oiseaux bizarres, il y ceux qui volent à la verticale. 

Le rêve de tout homme, depuis que l'Humanité pense, a toujours été d'imiter les oiseaux. Et, pas seulement l'homme puisque la femme aussi s'y est employée et, comme pour l'homme, bien souvent, au risque d'y perdre la vie. 

Ainsi, il y a eu, le 24 octobre 1901, une dame correspondant au nom de Annie Edson Taylor qui, pour sortir de l’anonymat (et de la pauvreté,) défia les lois de la gravité et se jetant du haut des chutes du Niagara, bien enfermée dans un tonneau. 

Aussi incroyable que cela puisse paraitre, elle fut repêchée et s'en sortit sans trop de dommages. 
Il faut savoir aussi que : 

- les chutes canadiennes font environ 50 mètres de haut 
- les remous, aux pieds des chutes, sont terrifiants 
- le 24 octobre 1901, Annie Taylor avait 63 ans 
- elle fut la 1ère personne à survivre dans cette entreprise 
- le tonneau était en bois. 

C'est fort, hein ? 

Comme quoi, il ne faut jamais dire fontaine, je ne boirai pas 2 tonneaux. Ou alors, ils sont petits. Dans ce cas, on les appelle des tonnelets. etc. 
Sacrée Madame !



jeudi 9 octobre 2014

CHOME LE MATIN, TRAVAILLE TON CORPS... DANS LA BONNE HUMEUR

Le matin, je fais du sport dans une salle. Il y a là des téléviseurs qui envoient de la musique et des images. C'est bien car, pendant que je transpire, je pense à autre chose et je me "donne" plus.

L'autre matin, je n'avais pas trop envie de me fatiguer alors, j'ai regardé un peu plus la télé.  
A l'écran, il y avait "Show ! Le Matin." 
Naturellement, même quand je "travaille" moins, je me bouge quand même et, j'étais en train de m'essuyer le front quand Cartman arrive avec une perruque cheveux longs mais, que sur les bords. J'ai été surpris et j'ai pensé : "Chauve le matin!" Et j'ai pouffé tout en courant.
Alors, merci Cartman, continue. 
C'est tout.

Par ailleurs, savez-vous qu'on a découvert une nouvelle espèce d'oiseau ? Au Laos. 
image ci-contre
pour lui, 
chauve le matin... 
et le reste du temps aussi.

samedi 20 septembre 2014

Rien de nouveau ce soir. J'étais en train de me demander si Noé avait fait monter des crocodiles dans son arche. Car, peuvent-ils nager pendant 40 jours ?
Il a emmené des corbeaux et des colombes mais, qu'a-t-il donné à manger aux rapaces ? Des souris ?

Je n'ai rien trouvé, hormis le corbeau et la colombe. De toute façon, il est tard et je n'ai pas envie de raconter des histoires...
Il est tard ou tôt ; selon l'habitude de se lever. Moi, je me lève tôt, comme les oiseaux. J'ai donc cherché à oiseaux et suis tombé sur "fringillidés".

Rien de spécial, sinon que ce passereau, le Bruant (qui vient de bruyant), l'oiseau de la famille des passériformes est appelé, aussi, Verdier, en France.
Et, comme un mot en entraine un autre, j'ai voulu en savoir plus.

Ma quête m'a amené à Zigolo : c'est son nom en Italie. Car cet oiseau vit autour de la méditerranée et, surtout en Afrique du Nord.
Zigolo, c'est un mot que j'ai trouvé rigolo alors, j'ai continué mes recherches.

De fil en aiguille, je suis arrivé à son nom en espagnol : Escribano.
Escribano se traduit par Greffier, Scribe, Notaire, voire par extension "écrivain".

Voilà, juste pour dire que Escribano, pour un oiseau c'est normal puisqu'il sait manier la plume !

Bonne nuit ; il est 5 heures : c'est l'heure où je vais me coucher. 

jeudi 22 mai 2014

LES CHATS ET LES RATS NE SERONT JAMAIS AMIS



En Animalia, les différentes clairières et contrées votent pour garder, ou pas, leur appartenance au nouveau territoire élargi. A Eurowood, (voir mes posts précédents) aussi, les animaux dominants s’activent pour vanter les avantages ou les inconvénients d’un territoire aux frontières élargies. 

Tout est dit ; certains ne sont ni pour ni contre et d’autres au contraire, sont pour et contre. Il y en a même qui tirent la couverture à eux, c’est à dire à leur famille au sens le plus strict (tant pis pour ceux qui les soutiennent, qui resteront petits poissons ; ainsi fit l'hypotendu). Les loups, par exemple, préfèrent qu’il y ait des clôtures plus rapprochées car ils peuvent ainsi, plus facilement, discuter avec les moutons… qu’ils adorent. Les aigles, par contre, qui peuvent voir Animalia d’en haut, se contrefichent des clôtures et frontières. Les écureuils, quittes à être encerclés par Eurowood, sont heureux d’emmagasiner les noisettes des contrées aux alentours et agissent comme s’ils ne faisaient pas partie d’Eurowood. Ils font des prélèvements, par ci, par là, dans les pays avoisinants, se moquant de l’ours blanc, de l’aigle royal et même du pandi-panda. Tant qu’il y aura des noisettes, ils vivront ! Les souris se contentent de leur trou de souris. Elles disent que c’est bien suffisant ; dehors, elles risquent de se faire manger par l’aigle ou le renard ! 

Ainsi vont les discussions à Eurowood. Tous sont représentés, la louve, le taureau, le sphinx, l’aigle qui peut voir des 2 côtés, etc. et même le coq. C’est d’ailleurs chez celui-ci que les discussions sont les plus divergentes et, tous n’iront pas voter. Beaucoup sont persuadés qu’Animalia ne peut rien faire pour eux. (Parce que "on" le leur a dit ! - Le leurre a dit ! - Ainsi pensent les moutons.)

« La basse-cour ne doit pas s’élargir ; il y a danger de l’autre côté des murs. Il faudrait ériger d’autres grillages et éventuellement en mettre même au-dessus des têtes, pour nous protéger !!! »

Les protéger de qui ? Moi, le chat, je sais très bien dans quelle boîte vont déguster les poules, que le dindon aura une place à table, au milieu, pour la "Thanksgiving" ou qui fête Noël quand le coq s’appelle chapon. Sacrifier la liberté au prix de la sécurité ? (qui n’est qu’illusoire puisque de toute façon plus on est petit, plus on risque de se faire manger par les autres qui sont déjà grands) 

Très peu pour moi. Je suis un chat, un félin. Il me faut de l’espace. Et puis, je veux un pays grand, pas un trou de souris où même les rats y sont à l’étroit. 

Alors, vos thés noir ou vos thés verts ? Plutôt que de se passer de vos thés, supprimons la théine ! Ne vous passez pas de vos thés !

Savez-vous que le petit du pélican, en 8 à 10 mois, s'avale environ 70 kg de poissons ? C'est le prix à payer pour en faire un adulte - à méditer - et, adulte, grand, personne ne l'embête plus.