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jeudi 20 juin 2013

AU RISQUE D'AIMER MONSIEUR CLAUDE BEATA



Coup de cœur : là, je viens de l’avoir. Et quand on aime, on partage.

Il y a un monsieur, CLAUDE BEATA, qui est vétérinaire, qui est déjà connu, qui n’a pas besoin de moi pour lui faire de la pub mais, que je voudrai faire figurer dans ce blog pour sa passion, pour son métier et pour les animaux, qu’il défend. 

Bien sûr, je ne soigne pas les animaux mais, plutôt, fustige les humains avec des histoires d’animaux. Cela ne veut pas dire que je n’aime pas les animaux ; bien au contraire, si je ne les aimais pas, je ne saurais pas qu’au fond, ils ne sont pas si différents de nous.
Les animaux sont comme nous, juste qu’ils ne sont pas avides, c’est tout. Et comme ils sont comme nous, ils méritent d’être traités avec égard dû à tout être vivant, comme pour les humains.
Notre blog AVIDOXE parle surtout des oiseaux. C’est mon plaisir. Mais, parfois, quand l’un de nous parle de la clairière d'Eurowood, aussi bien les animaux à poil que les animaux à plume sont mis en avant. 

Nous avons dont un point commun avec Monsieur Claude BEATA et donc, il mérite un petit coup de cœur. D’autant qu’il a fait paraître en mai un livre dont le titre est : 

AU RISQUE D’AIMER
Livre 15,5x24 cm, de 336 pages,
ISBN 9782738129840 

dans lequel il relate plusieurs aventures sur des animaux extraordinaires, pour les humains, par leur amour, leur  désintéressement. 

(bientôt les vacances : n'abandonnez pas votre chien au bord de l'autoroute ; ce n'est pas très humain. Après-tout, votre chien ne vous abandonnerait pas, lui, même si sa vie était en jeu !)  

mercredi 19 juin 2013

LA POLITIQUE DU MONARQUE MIGRATEUR


Le monarque est un papillon de 12 centimètres qui a la particularité d’émigrer, par millions d’individus.
D’août à octobre, il fait 4000 kilomètres vers le sud et les refait vers le nord pour le printemps.
Il faut savoir que, comme le monarque est un papillon, il fait partie de la grande famille des insectes mais, c’est un insecte qui émigre comme les oiseaux.
On suppose qu’il trouve sa route grâce au soleil.

Imaginons, maintenant, que d’autres monarques puissent émigrer et se retrouvent en Syrie, par exemple, en plein milieu de la guerre… pensez-vous qu’ils chercheraient à éteindre le feu ou à continuer de l’attiser ? Iraient-ils se poser du côté du médecin qui tue ou du côté des rebelles ? … qui tuent aussi, d’ailleurs.

L’histoire m’a appris que l’humanité a évolué en temps de paix. 
Imaginons alors que l’on puisse remplacer les périodes de guerres par des périodes d’évolution. Nous devrions être capables, aujourd’hui, à la manière des monarques et des oiseaux, d’émigrer vers d’autres planètes. Nous aurions maîtrisé l’apesanteur et serions capables d’aller et venir, sans gros efforts, pour nous détendre ou simplement pour visiter, sur une autre planète d’une autre galaxie.

Bon ! Au vu des agissements de nos dirigeants, il ne nous reste plus que 49 millions d’années à attendre…

mercredi 12 juin 2013

NOM D'USAGE ou NOM DE SAGES



Les habitants de Brières-les-Scellés se nomment les Briolins.  Les habitants de Cazilhac, dans l'Aude, sont les Cazilhacois, les habitants du Gard, des Gardois et ceux de l’Ile-de-France sont appelés les Franciliens.

Mais, comment appellent-on les habitants du Loiret ? 
D'après les journaux d’infos « on » ne l’a pas encore défini. En ce moment, les habitants sont en train de se chercher un nom. Ils ont bien raison, ainsi, quand on parlera d’eux, on saura de qui on parle.
Pourtant, j’ai cherché sur internet et j’ai trouvé Loiretains. Alors, pourquoi cherchent-ils ? Ce n’est pas officiel ? 

Il semble, aussi, qu’il y a des gens qui n’ont pas encore de nom « propre » par rapport à leur région, département, ville ou village. Pour exemple, les habitants de l’Ain n’ont pas de nom propre ; ils s’appellent tout simplement : les habitants de l’Ain ! Non ? Si, si ! 
Alors, il serait temps de leur trouver un nom.
Pourquoi ? Mais, pour avoir une identité, un point commun. Pour qu’ils aient le plaisir de dire : « Je suis un Xxxxz. » au lieu de « Je suis un habitant de Xxxx. » Je suppose que c’est quand même plus pratique de dire « Je suis Briolin » plutôt que « Je suis un habitant de Brières-les-Scellés entre Boissy-le-Sec, Anvers-Saint-Georges, Morigny-Champigny et Chalo-Saint-Mars ! » 

En tous cas, ça ferait gagner du temps.

En parlant de gain de temps, savez-vous que, pour l’avoir en cas de besoin,  certaines variétés d’aigles, pour nourrir leurs petits, ont pour habitude d’accumuler des réserves de nourriture dans des cavités près de leur nid ?
(Eh oui ! Pour l'avoir devant soi, il faut le mettre de côté ; même les oiseaux le savent.)

samedi 8 juin 2013

LA TOLE EST RANCE EN FRANCE (et ailleurs)




Il était une fois dans une des clairières d’EUROWOOD des habitants affairés à leurs affaires qu’ils faisaient de bonne foi. Ils faisaient fi des faux semblants des fainéants et la fable prenait forme. Mais, quand l’effet est fait faux, faut se méfier…



Tyrannosaure charognard
En effet, dans ce pays merveilleux, un jour, les habitants se sont partagés en 5 clans : les Anti-de-droite, les Peut-être-pour, les Pour-et-contre, les Peut-être-contre et les Anti-de-gauche. Il va sans dire que les Anti-de-droite et les Anti-de-gauche se haïssaient, les cons, même s'ils disent la même chose avec des idées qui ne sont pas les leurs ! Au fur et à mesure du temps qui passe, afin d’éviter les conflits, au lieu d'en parler, tout ce joli monde a appris à s’éviter ; ce qui a eu pour effet de se méfier de l’autre, de renforcer les clans, de ne plus se comprendre du tout !



Dès lors, la « tolérance » s’est teintée d’un goût amer. A vrai dire, la tolérance n’a plus été employée et a pris un goût rance. Et qui dit gourrance… erre dans l’incertitude.

Aussi, cette « rancitude » s’est aggravée quand il y a eu la mort qui a frappé à la porte. La mort qui a emporté un jeune Anti-contre. 
Alors, les habitants de la clairière d’Eurowood se sont rassemblés et ont décrété qui fallait mettre en prison l’Anti-de-droite. Ce qui a été fait.

Voilà, ça s’est arrêté là. Et l’intolérance s’est aggravée.



Evidemment ! La solution est de mettre les habitants en présence, de parler et de chercher une solution. De le faire avant qu’il y ait un malheur. De démontrer que tous ont le même but : vivre en bonne intelligence.



Vivre en bonne intelligence, vous savez ce que c’est ? Je vous rappelle, si vous avez lu mes derniers articles sur Eurowood, que les habitants de cette clairière sont des animaux et que ceux qui ne sont pas capables de vivre en bonne intelligence sont des bêtes, des poux, des parasites. 



Conclusion : soyons tolérants. La tolérance est ce fruit qui nous rend humains.